Goûtez aux saveurs du marché matinal d’Ubud, cueillez vos ingrédients avec les locaux, puis apprenez à cuisiner neuf plats balinais traditionnels dans une maison familiale—avec beaucoup de rires et d’aide pratique. Attendez-vous à avoir les pieds dans la boue des rizières et des saveurs qui resteront longtemps en mémoire.
La première chose qui m’a frappé, c’est l’odeur—épicée, sucrée, un peu terreuse—avant même de voir les petits paniers de piments et de citronnelle au marché d’Ubud. Notre guide, Putu, discutait déjà avec une vendeuse de minuscules citrons verts. Il m’en a tendu un pour que je le sente (si vif que ça m’a fait pleurer des yeux) et m’a expliqué que chaque famille a sa propre recette de sambal. J’ai essayé de dire «terima kasih» mais j’ai dû me tromper ; elle a juste souri et glissé un autre citron dans mon sac. La matinée était animée sans être pressée—juste des gens qui vaquaient à leurs occupations pendant qu’on les suivait, découvrant les secrets de la vraie cuisine balinaise.
Après avoir choisi des légumes et des racines mystérieuses (galanga ? gingembre ? je confonds toujours), nous sommes partis vers une rizière. L’air était chaud et lourd, avec des grenouilles qui chantaient pas loin. Putu nous a montré comment fonctionnent les rizières—il nous a même laissé écraser un peu de boue entre les orteils si on voulait (j’ai sauté sur l’occasion, aucun regret). Puis direction la maison de sa famille pour le cours de cuisine. Neuf recettes au programme : du Sate Lilit au gâteau Klepon. On a émincé des échalotes jusqu’à avoir les doigts qui piquent, broyé des épices dans des mortiers en pierre, rigolé quand le lait de coco a éclaboussé partout.
Je ne m’attendais pas à me sentir aussi bien accueilli dans la cuisine de quelqu’un d’autre. La mère de Putu était toujours là, prête à donner des conseils (et à corriger nos erreurs en douce). Le déjeuner, c’était tous les plats qu’on avait préparés—servis sur des feuilles de bananier autour d’une grande table en bois dehors. Le tempeh frit était doux et collant ; je repense encore à cette première bouchée de Lawar Bali avec son croquant de haricots verts et ses herbes fraîches. Tout ça ressemblait moins à un cours qu’à une invitation chez des amis qui veulent vraiment que tu restes un peu. Si vous cherchez un cours de cuisine balinaise à Ubud qui parle autant de rencontres que de recettes… c’est ici.
Oui, la prise en charge et le retour sont inclus si vous logez dans la région d’Ubud.
Vous réaliserez neuf recettes traditionnelles comme le Sate Lilit, Lawar Bali, Sambal Matah, Pepes Ayam ou Tofu, ainsi que le gâteau Klepon.
Oui, une visite guidée du marché matinal est prévue pour acheter les ingrédients avec votre hôte avant de cuisiner.
Oui, des menus végétariens sont disponibles ; il suffit de le préciser lors de la réservation.
De l’eau minérale en bouteille est fournie ; les boissons alcoolisées ne sont pas comprises.
L’expérience dure généralement une demi-journée, incluant la visite du marché, l’arrêt aux rizières et la séance de cuisine avec déjeuner ou dîner.
Il n’y a pas de limite d’âge précisée, mais les familles sont en général bienvenues.
Oui, vous recevrez des fiches recettes imprimées pour refaire les plats chez vous.
Votre journée comprend la prise en charge à l’hôtel dans Ubud, de l’eau en bouteille tout au long du tour, tout le matériel de cuisine pour préparer neuf plats balinais (avec options végétariennes), les recettes imprimées à emporter, des dégustations en chemin, la visite d’un marché local animé et des rizières paisibles (option matin), ainsi qu’un déjeuner ou dîner avec tout ce que vous aurez cuisiné avant de rentrer détendu—et sûrement repu—à votre hôtel.
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