Goûtez à la street food d’Istanbul en petit groupe, de la gare de Sirkeci jusqu’à une cérémonie de derviches classée UNESCO, intense et intime. Puis savourez un dîner à volonté dans un kebab vieux de 140 ans avant d’être ramené près de votre hôtel. Bien plus qu’un repas, c’est sentir Istanbul vibrer autour de vous.
En approchant de la gare de Sirkeci, une étrange sérénité m’a envahi — sans doute l’odeur légère des marrons grillés ou ce crépuscule bleu si typique d’Istanbul. Notre guide, Emre, avait ce naturel rassurant, comme s’il avait déjà croisé tous les voyageurs du monde. On s’est lancé dans les ruelles étroites, s’arrêtant pour grignoter ces petites moules frites piquées sur un cure-dent (je n’arrive toujours pas à prononcer “midye tava” — Emre a souri sans me corriger). La ville bourdonnait, mais sans jamais étouffer : des rires, des scooters qui filent, un vieux monsieur vendant des simits depuis sa charrette. J’ai aimé qu’on ne soit jamais pressés.
Le spectacle des derviches avait lieu dans une salle presque cachée, presque secrète — à l’intérieur, une atmosphère sacrée. Il y a quelque chose d’hypnotique dans la lente rotation de leurs robes blanches, accompagnée de ces tambours et flûtes en roseau, difficile à décrire. On flotte, le temps d’une heure. Emre nous a donné juste ce qu’il fallait de contexte pour ne pas être perdus, mais surtout, il nous a laissé ressentir. J’ai vu une femme à côté de moi fermer les yeux pendant la moitié du spectacle — je crois qu’elle pleurait doucement ? Moi aussi, ça m’a touché en plein cœur. Qu’il soit patrimoine UNESCO ou pas, c’est une expérience unique, à vivre sur place.
Après, on est montés dans un van qui a traversé le trafic pour nous emmener dans ce kebab familial vieux de 140 ans. Les murs étaient couverts de photos anciennes et de casseroles en cuivre. Les plats défilaient : salade d’aubergines fumée, kebabs d’agneau qui grésillaient sur des plateaux en métal, et une douceur collante pour finir (j’ai demandé ce que c’était, mais j’ai oublié aussitôt). Le thé était servi dans ces petits verres brûlants si on n’y fait pas attention. Quelqu’un a tenté le rakı ; moi, j’ai préféré l’ayran, pas très fort en alcool. On a bien rigolé en essayant de prononcer les mots turcs — Li de Singapour a clairement gagné le concours.
On a terminé tard, mais pas de souci : chacun a été raccompagné en voiture jusqu’à son hôtel. En regardant les lumières défiler pendant le trajet, j’ai pensé à cette sensation unique qu’a Istanbul la nuit, à la fois millénaire et vibrante. Si vous voulez goûter la vraie cuisine turque ou vivre un spectacle de derviches en vrai — pas juste en lire — cette excursion est parfaite, sans chichis ni pièges à touristes. Je pense encore à ces moules, d’ailleurs.
La visite inclut des dégustations de street food, l’accès à un spectacle de derviches classé UNESCO, un dîner à volonté dans un restaurant historique (avec options végétariennes, vegan et sans gluten), boissons, dessert, transport privé après le dîner et retour proche de votre hôtel.
Le point de rendez-vous est devant la gare de Sirkeci, en plein centre d’Istanbul.
Oui, après le dîner, une voiture privée vous ramène près de votre hôtel.
Oui, des plats végétariens, vegans et sans gluten sont disponibles sur demande après la réservation.
Le spectacle dure environ une heure.
Le groupe est limité à 15 personnes pour une ambiance plus conviviale.
Oui, tous les lieux et transports sont accessibles aux personnes en fauteuil roulant.
Non, tout est inclus dans le prix : nourriture, boissons et transport.
Votre soirée commence à la gare de Sirkeci avec des dégustations de street food en chemin vers une cérémonie de derviches classée UNESCO d’une heure ; ensuite, profitez d’un dîner turc à volonté avec boissons et dessert dans un restaurant local vieux de 140 ans, avant d’être raccompagné près de votre hôtel en voiture privée — toutes les restrictions alimentaires sont prises en compte si vous les signalez à l’avance.
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