Enfilez votre tablier dans une vraie cuisine de Tirana, apprenez à faire le lakror, le tave kosi et les biscuits sucrés sheqerpare avec des locaux. Dégustez vin maison et raki en partageant des histoires autour de la table. Rires, nouvelles amitiés et saveurs inoubliables garanties.
Le plus drôle, c’est qu’on a failli passer à côté — je suis passé devant cette petite porte deux fois sans la voir, jusqu’à ce que l’odeur des pâtisseries chaudes me guide. Notre hôte, Erion, nous a accueillis avec de la farine sur les mains et un grand sourire, comme s’il nous attendait depuis ce matin. Quelques personnes étaient déjà attablées, manches retroussées, quelqu’un riait nerveusement en parlant de la finesse de sa pâte pour le lakror. On se serait cru dans la cuisine d’une famille plutôt que dans un simple “cours”.
On a commencé par un café fort, presque fumé, pendant qu’Erion nous racontait comment sa grand-mère préparait le tave kosi à l’époque où Tirana n’avait presque pas de feux rouges. Il nous a montré comment superposer l’agneau et le yaourt — je n’arrêtais pas d’oublier quelle épice allait où, mais il a juste haussé les épaules en disant que chaque famille a sa propre recette. Le mot-clé ici serait “atelier cuisine albanaise Tirana”, mais honnêtement, ça ne ressemblait pas du tout à un cours ; plutôt à un secret de famille qu’on nous partageait. À un moment, j’ai essayé de prononcer “sheqerpare” et ça a fait rire tout le monde — apparemment, mon accent faisait plutôt penser à un “mur de sucre” qu’à une “pièce de sucre”.
Le déjeuner, c’était ce qu’on avait préparé : un lakror feuilleté aux épinards si frais qu’on sentait encore la terre, ce tave kosi crémeux qui bouillonnait dans sa terrine, et ces biscuits sucrés et friables qui fondaient dès qu’on les touchait. Du vin maison est apparu comme par magie (acide et trouble), suivi d’un petit verre de raki qui brûlait mais laissait une douce chaleur dans la poitrine. Il pleuvait dehors, mais à l’intérieur, c’était bruyant et chaleureux — chacun échangeait des histoires sur les traditions culinaires de sa famille. Cette table me revient souvent en tête.
Vous apprendrez à faire le lakror (tarte feuilletée), le tave kosi (agneau au yaourt gratiné) et les biscuits sucrés sheqerpare.
Oui, le déjeuner comprend tout ce que vous préparez pendant l’atelier, ainsi que des apéritifs et snacks maison.
Vous dégusterez du vin maison et du raki traditionnel pendant le repas.
L’atelier a lieu en plein cœur de Tirana, dans une cuisine familiale locale.
Les plats principaux contiennent généralement de l’agneau ou du veau ; pensez à prévenir si vous souhaitez une version végétarienne.
Oui, tous les espaces sont accessibles aux fauteuils roulants et les animaux d’assistance sont acceptés.
La durée exacte n’est pas précisée, mais comptez plusieurs heures pour la préparation, la cuisson, le repas et les échanges.
Eau en bouteille, déjeuner complet avec deux plats principaux, apéritifs/snacks, dégustation de vin maison et raki, café ou thé, ainsi que tous les ingrédients et l’utilisation de la cuisine.
Votre journée comprend de l’eau en bouteille à l’arrivée, l’utilisation des ustensiles et ingrédients frais pour chaque plat préparé ensemble, un déjeuner complet avec deux plats principaux et des snacks maison, des dégustations de vin et raki tout au long du repas, et enfin un café ou thé avant de repartir dans les rues de Tirana.
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