Parcourez la vieille ville de Genève avec un guide local, dégustez douze chocolats primés répartis sur six arrêts. Traversez le lac Léman en bateau, découvrez les histoires derrière chaque bouchée sucrée et vivez des instants de vie genevoise qu’on ne voit pas seul. Rires, histoire, doigts collants — et ce moment où Genève devient familière.
Je ne m’attendais pas à ce que la première étape sente autant l’enfance — cette odeur chaude, presque grillée de cacao qui vous enveloppe dès que l’on entre. Notre guide, Claire (qui vit ici depuis toujours), m’a tendu un petit carré en disant : « Celui-ci a gagné un prix l’an dernier. » Il a fondu si vite que je n’ai goûté le côté noisette qu’une fois qu’elle nous a raconté que Churchill achetait son chocolat dans cette même boutique. J’ai essayé de l’imaginer là, honnêtement — ça m’a fait sourire.
La marche n’était pas trop longue, à peine 2 km ? On a zigzagué dans la vieille ville de Genève, passé la cathédrale Saint-Pierre où les cloches résonnaient sur la pierre. Un moment magique près de la Maison Tavel quand quelqu’un a ouvert une fenêtre au-dessus de nous et un piano s’est mis à flotter dans l’air. Les dégustations étaient espacées juste ce qu’il faut pour ne jamais avoir la nausée — même si au quatrième arrêt, j’ai commencé à regretter de ne pas avoir sauté le petit-déj. Claire a raconté la tradition de casser la « marmite » (un chaudron en chocolat typique ici) et nous a fait essayer de le prononcer en français ; j’ai clairement massacré le mot, mais elle a juste souri.
J’ai aimé qu’on traverse le lac Léman à bord d’un de ces bateaux jaunes — rien de chic, juste des gens du quotidien scotchés à leur téléphone pendant qu’on admirait le Jet d’Eau qui pulvérisait sa brume partout. L’air y était vif et pur, rien à voir avec l’atmosphère sucrée des pâtisseries. À un moment, mes mains sont devenues collantes à force de pralines, mais personne ne s’en souciait ; tout le monde était trop occupé à comparer ses préférences ou à demander à Claire quel était son chocolatier préféré (elle ne voulait pas choisir).
Franchement, je repense encore à un gâteau — un truc à l’écorce d’orange et chocolat noir — mais surtout, je garde en tête ce sentiment étrange d’être chez moi dans une ville où je ne connaissais personne. Peut-être à cause du sucre, ou simplement parce que les gens traînaient devant les boutiques à discuter en français et en italien. Trois heures ont filé en un clin d’œil. Si vous pensez à une escapade à Genève pour une dégustation de chocolat, ne vous prenez pas la tête — mettez juste des chaussures confortables et sautez peut-être le déjeuner.
La visite dure environ 3 heures et couvre environ 2,1 km à pied.
Vous goûterez 12 chocolats suisses différents lors de six arrêts.
Oui, une courte traversée en bateau sur le lac Léman est prévue pendant la visite.
Pour les enfants de 3 ans et plus, un billet enfant est nécessaire ; les moins de 2 ans non mangeurs entrent gratuitement.
La visite essaie de proposer des alternatives si signalé à l’avance, mais ne peut pas garantir toutes les substitutions pour allergies.
Prévoyez des chaussures plates et confortables pour marcher environ 2 km, avec quelques petites côtes.
Oui, l’accès coupe-file est inclus à tous les arrêts dégustation.
Votre journée comprend une visite guidée dans la vieille ville de Genève avec un guide local expert, douze dégustations de chocolat suisse sélectionnées dans six chocolateries ou pâtisseries (dont des incontournables), tous les frais d’entrée avec accès coupe-file, plus une courte traversée en bateau sur le lac Léman avant de revenir aux monuments de la ville — pas besoin de vous soucier des billets ou de l’organisation.
Besoin d’aide pour planifier votre prochaine activité ?