Partez à la découverte de la vieille ville de Chania en dégustant du bougatsa tout chaud, en sirotant du raki avec des locaux qui connaissent tous les raccourcis, en goûtant olives et douceurs aux noms imprononçables. Attendez-vous à des rires sur des doigts collants, des histoires de commerçants, et des instants calmes devant un coutelier crétois au travail. Vous repartirez rassasié, mais avec l’envie d’une dernière bouchée.
On me tend un petit verre — liquide clair, parfum vif. « Raki », sourit notre guide, comme si elle partageait un secret. Je le bois (trop vite) et la brûlure me réveille doucement. On est devant une boulangerie où le bougatsa est si feuilleté qu’il laisse des miettes partout sur ma chemise. Le boulanger nous fait signe d’entrer, les bras couverts de farine, et j’essaie de dire « merci » en grec, mais ça sonne surtout comme un marmonnement. Il rigole quand même.
La vieille ville de Chania a son propre bruit — pas celui d’une ville bruyante, mais le claquement des sandales sur la pierre et les salutations lancées à travers les ruelles étroites. Notre guide connaît tout le monde ; elle nous montre quelles olives viennent du verger de son oncle (les vertes, avec ce goût beurré) et quel fromage est fabriqué juste à la sortie de la ville. On s’arrête pour des loukoumades — le miel collant me colle aux doigts, et franchement, ça ne me dérange pas du tout.
On se glisse dans une herboristerie qui sent le thym sauvage et quelque chose de plus piquant que je n’arrive pas à identifier. Le propriétaire parle vite, les mains partout, en préparant des petits sachets à sentir. Quelqu’un demande alors pour les couteaux — on va juste à côté voir un vieil homme graver à la main des motifs dans l’acier. Là-bas, c’est plus calme, presque méditatif, sauf le bruit métallique quand il vérifie le tranchant.
Je ne pensais pas me sentir aussi à l’aise à flâner avec des inconnus, à goûter des choses dont je peine à prononcer le nom (kalitsounia ? toujours pas sûr). Quand on arrive au port vénitien, je suis repu mais curieux d’en découvrir encore — ou peut-être juste d’un autre café avant de repartir.
La visite comprend bougatsa, fromages locaux, olives, loukoumades, kalitsounia, café grec et raki (Tsikoudia). Les tours l’après-midi ajoutent aussi du pita gyros.
Non, il n’y a pas de prise en charge ; le départ se fait au centre-ville de Chania.
Oui, de nombreux en-cas comme fromages, olives, pâtisseries et douceurs, ainsi que pita gyros pour les tours de l’après-midi, suffisent pour un repas léger.
Oui, café grec et raki (Tsikoudia) sont servis tout au long de la balade.
Oui, vous découvrirez à la fois les quartiers modernes et les ruelles charmantes de la vieille ville, notamment autour du port vénitien.
La durée exacte n’est pas précisée, mais comptez plusieurs arrêts lors d’une promenade tranquille en ville.
Oui, il est accessible à tous, avec une marche douce et de nombreuses pauses.
Oui, des options de transports publics sont disponibles à proximité du point de départ à Chania.
Votre journée comprend plein de petites ou grosses dégustations : fromages, olives, bougatsa tout droit sorti d’une boulangerie traditionnelle, loukoumades au miel coulant, kalitsounia (et pita gyros si vous choisissez la visite de l’après-midi), ainsi que café grec et raki local, le tout en flânant entre les quartiers modernes et les ruelles sinueuses de la vieille ville de Chania.
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