Le cœur qui bat à tout rompre en affrontant les rapides de classe IV-V sous les Chutes Victoria, guidé par un local dans les gorges du Zambèze. Transfert hôtel, équipement complet, déjeuner au bord de l’eau, et possibilité de nager ou sauter des rochers selon le niveau d’eau. Plus qu’une dose d’adrénaline, c’est du rire, de la sueur et des souvenirs inoubliables.
J’entends encore le bruit du Zambèze dans mes oreilles — ce grondement sourd qui précède la vue de l’eau. On venait de descendre en courant ce sentier raide dans la gorge (mes jambes tremblaient en arrivant en bas), et notre guide, Tinashe, souriait comme s’il savait ce qui nous attendait. L’air était lourd, chaud, presque moite, mais en levant les yeux, on voyait une bande de ciel entre les parois du canyon. Je ne crois pas avoir déjà été aussi éveillé si tôt le matin.
Le premier rapide m’a frappé plus fort que prévu — franchement, j’ai avalé la moitié du fleuve sur le coup. Tout le monde criait en même temps, les pagaies claquaient. Tinashe hurlait des consignes (“À gauche ! Plus fort !”) tout en lançant des blagues sur les crocodiles (pas très drôles sur le moment). Il y a ce mélange étrange de peur et d’excitation qui te serre la poitrine quand tu affrontes ces rapides de classe V lors d’une sortie depuis les Chutes Victoria — c’est bruyant, glacé, puis soudain tu te retrouves à flotter dans une eau calme, le soleil tapant fort. À un moment, on s’est arrêtés pour boire ; quelqu’un m’a tendu une canette si froide qu’elle m’a piqué la main. On sentait la roche mouillée et un parfum sucré venant du courant en amont — des fleurs sauvages peut-être ? Ou juste cette odeur typique du fleuve.
J’ai tenté un merci en shona au déjeuner (Li a ri quand j’ai massacré la prononciation), mais le repas était parfait — le pain encore chaud, le poulet fumé au feu de bois. Certains gars ont sauté d’un rocher dans une piscine profonde, d’autres flottaient tranquillement. Puis est venue la montée — franchement pas une mince affaire après avoir pagayé toute la matinée. Mes chaussures faisaient un bruit mouillé à chaque pas sur ces lacets escarpés. Quelques enfants nous ont fait signe en voiture en traversant leur village ; j’ai acheté un petit hippopotame sculpté qui me rappelait le sourire immense que j’avais à la fin.
Je ne m’attendais pas à me sentir aussi vidé mais étrangement apaisé après ce rafting privé sur le Zambèze. C’est bruyant, lumineux, chaotique — mais c’est souvent ce genre d’aventure qui te marque pour longtemps.
Ce circuit inclut des rapides de classe IV-V sous les Chutes Victoria ; il faut avoir une forme physique moyenne et savoir nager.
Oui, la prise en charge et le retour à l’hôtel à Victoria Falls sont inclus.
Privilégiez un T-shirt, un short et des chaussures adaptées au rafting et à la randonnée dans le canyon.
Oui, un déjeuner est prévu avec boissons à volonté (bar ouvert) et rafraîchissements légers pendant le rafting.
Les enfants peuvent participer s’ils pèsent au moins 23 kg, savent nager, portent un gilet adapté et ont l’autorisation parentale ; sinon, seuls les rapides de niveau 3 sont accessibles aux plus légers.
La baignade est facultative ; le saut de rochers dépend des conditions d’eau et de la décision du guide.
La randonnée varie mais prévoit des descentes et montées raides au début et à la fin ; une forme physique modérée est recommandée.
Non, aucune expérience n’est requise ; les guides donnent toutes les consignes de sécurité et fournissent l’équipement nécessaire.
Votre journée comprend la prise en charge à l’hôtel à Victoria Falls, tout l’équipement de rafting (casque, gilet de sauvetage, pagaie), l’accompagnement par des guides locaux expérimentés tout au long de la descente et des sentiers du canyon, des boissons illimitées avec bar ouvert lors des pauses, un déjeuner au bord du fleuve avec rafraîchissements pendant le rafting — ainsi que du temps pour nager ou sauter des rochers si les conditions le permettent, avant de revenir en traversant des villages voisins en fin de journée.
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