Vous montez les pentes du Babadağ depuis Fethiye ou Hisaronu, rencontrez votre pilote certifié, puis vous lancez dans le ciel d’Oludeniz pour un vol en parapente tandem. Sentez le vent frais sur vos joues, admirez les forêts et l’eau turquoise en dessous, puis atterrissez en douceur près de la promenade — jambes un peu flageolantes, cœur léger.
Après le petit-déjeuner, nous avons grimpé la route sinueuse depuis Fethiye, fenêtres ouvertes, respirant ce mélange de pins et de poussière — c’est fou comme l’air de la montagne peut être à la fois vif et chaud. Notre chauffeur, Cem, montrait du doigt les petits villages nichés dans les replis du Babadağ. J’essayais de ne pas montrer mon stress, mais mes mains jouaient déjà avec la sangle du casque avant même qu’on ne se gare au point de décollage. C’est haut, vraiment haut — 1960 mètres, m’a-t-on dit — mais l’ambiance était plutôt excitée que nerveuse.
Mon pilote s’appelait Emre. Il m’a souri et demandé si j’avais déjà volé (non), puis il m’a expliqué calmement ce qui allait se passer, ce qui m’a tout de suite rassuré. Il a vérifié toutes les sangles pour la dixième fois au moins — « La sécurité avant tout », a-t-il dit en tapotant sa poitrine — puis soudain, on a couru ensemble sur la pente. La voile s’est gonflée derrière nous avec un doux claquement et, honnêtement, je n’ai réalisé que mes pieds avaient quitté le sol que quand Fethiye a commencé à rétrécir sous nous.
Le vol est difficile à décrire sans paraître exagéré. On flotte, tout simplement. Le vent caressait mon visage, frais mais pas froid ; je sentais le sel de la mer mêlé aux herbes sauvages en contrebas. Emre montrait de petits bateaux dans la baie et un patchwork de forêts vertes qui s’étendaient vers Ölüdeniz. À un moment, il m’a laissé diriger quelques secondes — ce qui voulait surtout dire que je tanguais un peu pendant qu’il riait doucement avant de reprendre les commandes. On a plané une bonne demi-heure, je crois ? Le temps là-haut semblait suspendu.
L’atterrissage a été plus doux que prévu — les orteils effleurant le sable avant de toucher le sol juste derrière la promenade de la plage où les gens prenaient le thé en regardant les nouveaux arrivants flotter. Mes jambes tremblaient, mais dans le bon sens ; comme après une journée de baignade quand on était enfant. Je repense sans cesse à cette vue sur Oludeniz, à quel point tout paraissait minuscule vu d’en haut, à ce calme malgré la dizaine de voiles qui dérivaient autour de nous.
Le vol dure entre 25 et 45 minutes selon les conditions.
Oui, le transfert est inclus depuis les hôtels ou gares routières de Fethiye, Hisaronu et Ovacık.
Oui, le poids maximum est de 105 kg par participant.
La compagnie utilise des pilotes certifiés et un matériel avec un excellent bilan de sécurité.
L’atterrissage se fait en douceur sur la promenade derrière la plage principale d’Ölüdeniz.
Les enfants sont les bienvenus ; les bébés peuvent être transportés en poussette aux points de prise en charge et de retour.
Privilégiez des vêtements confortables adaptés à une activité légère ; les casques sont fournis.
Les animaux d’assistance sont acceptés aux points de prise en charge et de retour, mais ne peuvent pas voler.
Votre journée comprend le transfert aller-retour depuis Fethiye, Hisaronu ou Ovacık, l’accès au site de décollage du Babadağ, une assurance complète, tout le matériel nécessaire pour voler en toute sécurité avec votre pilote certifié, puis votre retour après le vol.
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