Avec cette visite autonome de San Marino, vous arpentez les ruelles anciennes à votre rythme grâce à un guide audio et écrit sur votre téléphone. Au programme : tours médiévales, églises silencieuses taillées dans la roche, places animées — et conseils gourmands pour vos pauses resto. Vous risquez de prolonger la balade sans vous en rendre compte.
Je ne m’attendais pas à commencer ma balade à San Marino juste à côté d’une fosse à arbalètes — la Cava dei Balestrieri, comme ils l’appellent. Creusée à même la colline, elle résonne encore des compétitions d’antan et du bruit des bottes sur la pierre. Ce matin-là, l’air sentait la pluie sur le calcaire, une ambiance parfaite pour un lieu où l’on défendait la cité avec des arbalètes. J’ai lancé le guide audio (téléphone dans une main, café dans l’autre) et la voix m’a raconté l’histoire de ces défenseurs médiévaux. Étonnamment facile d’imaginer ces gardiens veillant pendant que les touristes comme moi passaient.
La Basilica del Santo était plus calme que ce à quoi je m’attendais — pourtant c’est l’église principale de San Marino. Dans mes écouteurs, j’ai appris qu’elle abrite des reliques du saint fondateur, et j’ai essayé de me figurer la vie là-bas il y a des siècles. Juste à côté, la petite église San Pietro, où deux saints auraient dormi sur des lits de pierre ? J’ai jeté un œil, et il y avait ce silence particulier — vous savez, ce moment où on entre dans une pièce et tout le monde se tait ? Comme ça, mais en version millénaire. Le guide a parlé d’une abside taillée dans la roche vivante ; j’ai passé la main sur le mur pour vérifier (froid et rugueux).
La Piazza della Libertà était animée — pas bondée, mais assez pour se fondre dans la foule si on le souhaite. Un gamin courait après les pigeons près du Palazzo Pubblico pendant qu’un homme plus âgé discutait joyeusement à la fenêtre du bureau philatélique (j’ai saisi trois mots à peine). Mon guide digital a de nouveau sonné : apparemment, cette place accueille parfois des concerts. Difficile d’imaginer la musique résonner contre ces murs de pierre, mais pourquoi pas la prochaine fois. Ah — il y a aussi un musée des vampires ? Je ne l’avais pas vu venir.
Ce qui m’a le plus marqué de cette excursion à pied à San Marino, ce sont les tours. On grimpe par des sentiers étroits (évitez les chaussures glissantes), on passe par la Porta del Paese — on se croirait plus sur un plateau de tournage que dans la vraie vie — puis soudain, on arrive à la tour Guaita, avec une vue imprenable sur toute l’Emilie-Romagne en contrebas. Le vent décoiffait, et je suis resté là un moment, à tout absorber. Il y a trois tours en tout, chacune avec son histoire et son panorama. Notre guide digital nous poussait à remarquer les détails : des cellules de prison ici, des postes d’observation là-bas. À un moment, j’ai été distrait par l’odeur d’une boulangerie qui montait de la ville… j’ai fini par prendre une piadina avant de redescendre.
Oui, la visite est accessible aux personnes en fauteuil roulant.
Non, une connexion internet est nécessaire sur votre smartphone pour utiliser le guide numérique.
Oui, les guides audio sont disponibles en anglais, espagnol et italien.
Oui, les bébés et jeunes enfants peuvent être transportés en poussette pendant la visite.
Oui, vous recevrez des conseils pour des restaurants locaux proposant une cuisine authentique.
Oui, des options de transports en commun sont disponibles à proximité du point de départ.
Vous recevrez les instructions d’activation dans votre bon de réservation ; lisez-les bien avant de commencer.
Votre journée comprend l’accès à un guide numérique audio et écrit multilingue, relié à Google Maps pour naviguer facilement parmi les monuments et coins cachés de San Marino ; des astuces pratiques pour les passionnés d’histoire ; des suggestions de restaurants locaux authentiques ; et un support en plusieurs langues pour écouter ou lire à votre rythme.
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