Partez de la péninsule de Teahupoo à Tahiti à bord d’un vrai Poti Marara avec un capitaine local qui connaît tous les secrets de ces eaux. Essayez la pêche au traîneau ou à la canne pour attraper thons ou mahi-mahi avec du matériel Shimano de qualité, partagez rires (et peut-être quelques ratés linguistiques), et profitez de vues sauvages sur le Pacifique avant de revenir avec les cheveux salés et des histoires plein la tête.
« Attends, c’est ce bateau ? » me suis-je exclamé en voyant le Poti Marara tanguer au ponton de la péninsule de Teahupoo, à Tahiti. Il avait l’air rapide — comme s’il pouvait filer devant une tempête sans souci. L’air était vif, salé, et un léger ronronnement du moteur accompagnait le capitaine (Rai — il a souri quand je lui ai demandé comment prononcer son nom) qui nous tendait les cannes à pêche en nous montrant comment les tenir à la polynésienne. Je n’avais jamais vu des moulinets aussi fluides ; ils semblaient presque trop précieux pour mes mains maladroites.
On a filé au-delà de la barre, où les surfeurs n’étaient plus que des points au pied des montagnes vertes. Rai gardait un œil sur l’horizon, racontant des histoires de poissons volants et comment son grand-père les attrapait ici même — « avant tous ces moteurs », disait-il en tapotant le 300 chevaux avec un rire. L’eau changeait de couleur d’un coup, passant du turquoise à ce bleu profond presque noir, et j’ai réalisé à quel point on était loin du rivage. J’ai essayé le traîneau en premier (pas sûr d’avoir bien fait), mais Rai était patient — il m’a même laissé tenter un « mahi-mahi » en tahitien. Je suis sûr que j’ai massacré le mot ; il a juste rigolé.
Quand quelque chose a finalement tiré sur ma ligne, mon cœur a bondi comme je ne l’attendais pas. Ce n’était pas énorme — Rai a appelé ça un « petit bonito » — mais le tenir dans mes mains mouillées, sentir sa peau lisse et voir son éclat argenté au soleil… oui, ça reste gravé plus que n’importe quelle photo. On a partagé des boissons fraîches et des histoires en attendant une autre touche. Le soleil tapait fort mais il y avait toujours une brise du Pacifique ; parfois, on n’entendait que l’eau qui clapote contre la coque et les oiseaux au-dessus.
Je repense encore à cette vue sur les montagnes de Tahiti alors qu’on rentrait au port — tout ce vert sauvage derrière nous, l’océan à perte de vue devant. Si vous cherchez une journée pêche près de Teahupoo avec quelqu’un qui connaît vraiment ces eaux, c’est ça qu’il vous faut. Pas de chichi, pas de mise en scène — juste de la vraie pêche, de la bonne compagnie et un peu de sel sur les lèvres.
Le tour demande au minimum deux personnes ou une personne payant le tarif pour deux.
Le départ se fait depuis la péninsule de Teahupoo à Tahiti.
Selon la saison et la chance, vous pouvez pêcher bonitos, thons, mahi-mahi (parfois au harpon) ou poissons volants.
Oui, tout le matériel Shimano haut de gamme est inclus dans la réservation.
Le déjeuner n’est pas prévu ; des boissons sont fournies pour rester hydraté toute la journée.
Oui, les débutants sont les bienvenus — le capitaine vous montrera les techniques polynésiennes traditionnelles.
Les bébés doivent être sur les genoux d’un adulte ; sinon, la sortie convient à tous niveaux sauf aux femmes enceintes.
La durée exacte n’est pas précisée, mais comptez plusieurs heures en mer autour de la péninsule de Teahupoo.
Votre journée comprend tous les frais et taxes, l’utilisation de cannes et moulinets Shimano de qualité pour chaque participant, des boissons pour rester frais sous le soleil, ainsi que l’accompagnement d’un capitaine local expérimenté qui vous enseignera les méthodes de pêche polynésiennes modernes et traditionnelles en explorant les eaux autour de la péninsule de Teahupoo à Tahiti.
Besoin d’aide pour planifier votre prochaine activité ?