Partez à la découverte de Salalah avec un guide local : admirez les mosaïques de la mosquée Sultan Qaboos, dégustez l’halwa fraîche dans les marchés animés, et observez les flamants roses au lagon de Khor Dahariz. Partagez des histoires avec les habitants et terminez la journée face aux lumières de la ville depuis le point de vue d’Attin — des instants gravés longtemps après votre départ d’Oman.
Je l’avoue, on a failli rater le départ parce que je ne retrouvais plus mon foulard pour la mosquée Sultan Qaboos — heureusement, notre guide Ahmed avait un de rechange dans sa voiture (il m’a juste souri et tendu sans faire d’histoire). La mosquée est vraiment impressionnante : la lumière du soleil qui joue sur les mosaïques, le silence à peine troublé par le doux frottement des chaussettes sur le tapis. J’essayais de tout absorber, mais l’odeur du jasmin venant des jardins me distrayait sans cesse. On ne pouvait pas entrer dans la salle de prière après 11h (j’aurais dû vérifier), alors Ahmed nous a montré les détails depuis la cour — il connaissait toutes les histoires derrière chaque carreau, ou du moins c’est ce qu’il disait.
Ensuite, direction le marché central de Salalah — honnêtement, c’était plus bruyant et chaotique que ce à quoi je m’attendais. Les vendeurs criaient leurs prix, les enfants couraient entre les étals avec les mains collantes. Je me suis retrouvé embarqué dans un débat sur les qualités de l’encens (je n’arrive toujours pas à les différencier) et j’en ai quand même acheté parce que le vieux vendeur m’a fait un clin d’œil. Le déjeuner, un poisson grillé mangé debout, le jus qui coulait le long de mon poignet. Au souq Al Hafah, les cocotiers dansaient au-dessus de nos têtes et quelqu’un m’a offert un morceau d’halwa omanaise — collante, sucrée, parfumée à l’eau de rose. Li a rigolé quand j’ai essayé de dire merci en arabe ; j’ai sûrement massacré la prononciation.
On a ensuite pris la route vers le site archéologique d’Al Baleed — le vent venait de la mer, les ruines étalées comme des ossements anciens le long du chemin. Ahmed nous a parlé des anciennes routes commerciales pendant qu’on regardait les flamants roses patauger dans le lagon de Khor Dahariz tout proche (ils sont vraiment plus roses que ce qu’on imagine). La dernière étape était le point de vue d’Attin Salalah : les lumières de la ville qui s’allumaient au crépuscule, les montagnes s’effaçant dans l’ombre bleutée. Un moment de silence partagé, personne ne disait rien — juste appuyés sur la rambarde, à contempler Salalah. Ce paysage me revient souvent en tête.
Les visiteurs non-musulmans peuvent entrer de 8h à 11h ; après, la visite est limitée aux espaces extérieurs.
Oui, le transfert est compris dans votre réservation.
Oui, les femmes peuvent visiter mais doivent s’habiller modestement et couvrir leurs cheveux.
La visite comprend une dégustation d’halwa omanaise et de café ; les autres repas comme le poisson grillé au marché sont à acheter sur place.
Oui, elle est adaptée à tous les niveaux physiques et les bébés peuvent être tenus sur les genoux d’un adulte.
Si la météo empêche la sortie, une autre date vous sera proposée ou un remboursement complet.
Oui, tous les frais et taxes sont inclus dans votre réservation.
Votre journée comprend la prise en charge par un guide/chauffeur anglophone directement à votre hôtel ou à un point proche à Salalah. Toutes les entrées et taxes sont incluses — pas besoin de s’inquiéter pour les billets au site archéologique d’Al Baleed ou le stationnement près du lagon de Khor Dahariz. De l’eau en bouteille est fournie tout au long du parcours, et une dégustation traditionnelle d’halwa omanaise accompagnée de café arabe vous attend avant le retour en véhicule climatisé.
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