Parcourez la Kasbah de Tanger avec un guide local, chevauchez des chameaux sur des plages sauvages de l’Atlantique, dégustez un thé à la menthe dans des jardins, et pénétrez dans des lieux mythiques comme les Grottes d’Hercule et la synagogue Nahon. Chaque instant est authentique — rires inattendus, parfums de la ville, embruns marins — et vous repartirez avec la sensation d’avoir touché du doigt la vraie vie tangéroise.
« Tu vois ce phare ? C’est là où se rencontrent deux mers », m’a dit Youssef en arrivant au Cap Spartel, son doigt suivant l’horizon. À peine avais-je fini mon café que nous roulions déjà le long de la côte de Tanger, fenêtres ouvertes. L’air était salé et vif, ça piquait presque le nez. On s’est arrêtés un instant pour regarder les vagues se briser sous ce vieux phare. Un mélange de cris de mouettes et de bruits lointains de la ville créait une ambiance étonnamment apaisante, comme si Tanger hésitait entre sauvage et civilisé.
Ensuite, le parc Perdicaris, que Youssef appelait « les poumons de Tanger ». J’ai vu une petite fille nourrir les canards près de l’étang pendant que sa grand-mère ajustait son foulard dans la brise. L’air sentait le vert, si on peut dire, un mélange de terre humide et de douceur florale. Puis vint la balade à dos de chameau sur une plage venteuse ; j’ai ri en essayant de monter (le chameau avait l’air franchement blasé), mais une fois en route, il n’y avait plus que le bruit des sabots, le vent et ce ciel immense de l’Atlantique. Je ne m’attendais pas à me sentir si minuscule là-bas.
Les Grottes d’Hercule étaient plus sombres que je ne l’imaginais — fraîches à l’intérieur, avec des échos qui rebondissaient sur les parois rocheuses. Youssef nous a raconté comment Hercule aurait fendu les continents (il a cligné de l’œil, on sent qu’il aime cette histoire). Plus tard, dans la Kasbah, un vieil homme nous a salués depuis sa porte bleue tandis qu’on se faufilait dans des ruelles à peine assez larges pour deux personnes. Les murs, écaillés mais peints de toutes sortes de bleus et de blancs, laissaient échapper une odeur de pain qui cuisait quelque part — j’aurais aimé savoir où. Le déjeuner s’est déroulé sur une place animée, avec un tagine qui mijotait et des enfants courant entre les tables en se poursuivant. On a terminé par la visite de la Légation américaine (je ne connaissais même pas son histoire avant), puis un coup d’œil à la synagogue Nahon — si calme à l’intérieur qu’on entendait même le frottement des chaussures sur les carreaux.
Je repense souvent à cette vue depuis les remparts de la Kasbah — la ville en contrebas, des bateaux dans la brume, l’appel à la prière flottant sur les toits. Tanger a ce quelque chose qui vous marque longtemps après le départ… peut-être cette façon qu’ont ses habitants d’être à la fois pressés et détendus.
Oui, un transport privé avec prise en charge est inclus pour votre groupe.
La visite dure toute la journée et couvre les principaux sites de Tanger.
Oui, l’entrée à la synagogue Nahon est comprise.
Oui, les bébés sont les bienvenus ; poussettes et sièges bébé sont acceptés.
Oui, tous les lieux visités et les transports sont accessibles en fauteuil roulant.
Le guide officiel parle plusieurs langues ; précisez votre préférence lors de la réservation.
Un café ou un thé est offert ; le déjeuner n’est pas inclus mais des pauses repas sont prévues.
Non, vous serez seuls à moins qu’un gros paquebot arrive — contactez-nous si vous avez un doute.
Votre journée comprend un transport privé avec prise en charge pour votre groupe, un guide officiel privé pour découvrir les principaux sites de Tanger (entrée incluse à la synagogue Nahon), une balade à dos de chameau sur la plage Atlantique, du temps au parc Perdicaris et au phare du Cap Spartel, des visites des Grottes d’Hercule et des ruelles de la Kasbah — avec une pause café ou thé avant de rentrer à votre rythme.
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