Parcourez les temples et sanctuaires historiques de Tokyo avec un guide local, goûtez aux spécialités de rue d’Asakusa, plongez dans la pop culture à Harajuku et traversez le célèbre carrefour de Shibuya en rythme avec la ville. Rires, surprises et instants de calme au cœur de l’effervescence vous attendent.
« Si tu te perds à Shibuya, suis juste l’odeur du yakitori », nous a lancé Kenji, notre guide, en souriant alors qu’on se frayait un chemin dans la foule matinale de la gare d’Ueno. Je n’avais même pas encore choisi mon billet qu’il m’avait déjà montré trois raccourcis et une boulangerie réputée pour son melonpan « le plus moelleux de Tokyo ». La ville s’éveillait — des salarymen en chemises impeccables, des écoliers avec leurs cartables assortis, et derrière nous, quelqu’un fredonnait un air de J-pop que je ne connaissais pas. On a commencé par le temple Senso-ji à Asakusa. La fumée d’encens dansait autour de nous pendant que Kenji expliquait que les gens la passent sur eux pour attirer la chance. J’ai essayé aussi — pas sûr que ça ait marché, mais je me suis senti plus léger (ou alors c’était juste l’odeur des petits pains aux haricots rouges qui me creusait l’appétit).
On a flâné dans la rue Nakamise où Kenji a discuté avec une dame qui vendait des gâteaux ningyo-yaki. Il m’a présenté comme « son ami venu de l’étranger » et elle m’a tendu un gâteau tout chaud, encore moelleux à l’intérieur. J’ai dû avoir de la farine sur le visage pendant une bonne demi-heure après ça. Puis on a repris le métro (je ne réalisais pas à quel point les trains japonais sont silencieux, surtout à midi) et on a fini au sanctuaire Meiji. C’était comme entrer dans un autre monde — soudain, on n’entend plus que le vent dans les arbres et le bruit de nos pas sur les graviers. Kenji m’a montré comment faire une révérence avant d’entrer ; il a même plaisanté en disant que ma courbette était « presque parfaite… pour un débutant ».
Ensuite, direction Harajuku — un vrai changement d’ambiance. Des néons partout, des ados en tenues délirantes qui rigolaient en dégustant des crêpes arc-en-ciel. J’ai essayé de dire « kawaii » mais Li, une autre guide qui nous a rejoints pour cette partie, s’est mise à rire de mon accent. Elle m’a appris à le prononcer correctement pendant qu’on regardait un groupe de filles poser pour des selfies sous des banderoles roses. Dernière étape : le carrefour de Shibuya. Franchement ? C’est le chaos organisé — des centaines de personnes qui avancent ensemble comme si elles répétaient ça depuis toujours. On est restés là un moment à observer avant de se jeter dans la foule.
Je repense souvent à ce moment au sanctuaire Meiji, quand tout s’est tu sauf les corbeaux dans les arbres et la voix de Kenji qui expliquait pourquoi on accroche des vœux aux branches. C’est fou ce qui reste gravé après une journée comme ça.
Non, le transfert depuis l’hôtel n’est pas inclus ; la visite commence à un point de rendez-vous central.
Non, l’entrée au temple Senso-ji et au sanctuaire Meiji est gratuite, aucun frais requis.
Pas de déjeuner prévu, mais votre guide vous aidera à trouver des spécialités locales selon vos envies.
Oui, vous prendrez le métro et les lignes JR de Tokyo tout au long de la journée avec votre guide.
Oui, prévenez votre guide à l’avance pour qu’il organise les pauses gourmandes en conséquence.
La visite dure environ 8 heures, selon votre rythme et vos centres d’intérêt.
Oui, les transports et la plupart des sites visités sont accessibles aux personnes en fauteuil roulant.
L’itinéraire est flexible — dites simplement à votre guide si vous souhaitez plus de temps quelque part.
Votre journée comprend un guide expert anglophone qui vous accompagne à travers les incontournables de Tokyo en métro et train JR, avec des visites du temple Senso-ji à Asakusa, du sanctuaire Meiji, de la rue Takeshita à Harajuku, et du carrefour de Shibuya — avec plein d’occasions de goûter des spécialités locales et d’être aidé pour réserver restaurants ou attractions si besoin.
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