Vous partirez en quad de Panajachel sur les routes sinueuses du lac Atitlán pour visiter Santa Catarina Palopó et San Antonio Palopó. Dégustez du café fraîchement moulu, observez les tisserands et potiers locaux à l’œuvre, puis faites une pause au bord du lac avec les habitants avant de revenir — une expérience vivante, riche et authentique.
« Ici, c’est toi qui dois moudre le café — c’est la règle », souriait notre guide Luis en me tendant un petit moulin en bois à Santa Catarina Palopó. Mes mains sentaient encore la poussière après la courte balade en quad depuis Panajachel, le vent du lac fouettant ma veste. Le village était peint en bleus et violets, les femmes tissaient sur les seuils, les enfants couraient avec les doigts collants. J’ai essayé de moudre les grains (pas aussi simple que ça en a l’air), et l’odeur m’a frappé — piquante, terreuse, presque douce. Luis a rigolé quand j’en ai renversé un peu, mais honnêtement, je crois qu’il s’y attendait.
On s’est baladés sur la place où une femme nous a montré des couvertures si vives qu’elles semblaient briller sous le soleil du matin. J’ai bafouillé quelques mots en espagnol ; elle a souri quand même et m’a laissé toucher le tissu — plus rugueux que je ne pensais, mais d’une chaleur étonnante. Le mot-clé principal de ce tour, c’est « Tour des villages du lac Atitlán en quad », et on ressent vraiment cette sensation de passer d’un monde à l’autre : un instant on file sur des routes étroites avec les volcans en toile de fond, le suivant on sirote un café si frais qu’il semble presque vert.
San Antonio Palopó était plus calme — moins de couleurs, mais plus de poussière d’argile dans l’air. On s’est arrêtés dans un atelier de céramique où un homme nommé Mateo nous a montré comment il façonne ses bols à la main. Le tour de potier tournait vite ; ses doigts bougeaient à peine mais créaient des courbes parfaites. Il y a eu ce moment où tout s’est ralenti — juste le doux ronron du tour et Mateo qui chantonnait doucement. Ensuite, on est allés dans une boutique de chocolat (j’en ai pris deux tablettes pour plus tard), puis on a roulé jusqu’au quai où les bateaux se balançaient doucement et où quelqu’un vendait des plantains frits depuis une charrette.
Au retour, on a fait une pause à Playa Blanca dans le quartier Jucanya pour prendre des photos — des locaux traînaient au bord de l’eau, riant à quelque chose que je n’ai pas compris. Le soleil se reflétait sur le lac, si fort que je devais plisser les yeux. Ce n’était pas parfait (mon casque glissait sans cesse), mais il y avait cette sensation d’être vraiment là, au cœur de tout ça — pas juste de passage. Parfois, je repense encore à cette odeur de café moulu mêlée à l’air frais du lac.
Le tour couvre plusieurs villages autour du lac Atitlán en une journée, au départ de Panajachel.
Non, il n’y a pas de prise en charge à l’hôtel ; le départ se fait depuis le bureau Simoon Pana à Panajachel.
Oui, un permis de conduire valide est nécessaire pour piloter votre propre quad pendant la balade.
Le tour inclut Santa Catarina Palopó et San Antonio Palopó, situés près du lac Atitlán.
Vous pourrez goûter du café et du chocolat locaux pendant les arrêts, mais les repas ne sont pas compris.
Le tour est accessible à tous niveaux de forme physique, mais déconseillé aux femmes enceintes ou aux personnes ayant des problèmes cardiaques ou de dos.
Les jeunes titulaires d’un permis valide peuvent conduire leur propre quad s’ils réservent au tarif adulte.
Votre journée comprend la location du quad avec casque fourni, le carburant inclus pour toute la balade entre les villages, ainsi que les frais de parking pris en charge, pour que vous puissiez profiter pleinement de la dégustation de café, des ateliers artisanaux et des vues au bord du lac avant de revenir à Panajachel.
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