Plongez au cœur des paysages de carte postale de Santorin avec des arrêts photos à Firostefani et Imerovigli, puis baladez-vous librement dans les ruelles d’Oia. Les histoires locales donnent vie à chaque village, et vous aurez encore du temps pour grignoter ou faire du shopping avant de retourner à votre bateau avec des souvenirs plein la tête.
Je ne pensais pas ressentir un petit trac en descendant du téléphérique à Fira, mais voir les falaises de Santorin de si près m’a vraiment fait battre le cœur un peu plus vite. Notre guide, Maria, nous a accueillis avec un sourire rapide—et cette voix rassurante qui vous fait sentir entre de bonnes mains. Le minibus était frais à l’intérieur (merci le ciel), et en traversant Firostefani, elle a pointé du doigt l’église aux dômes bleus avant même que je ne la remarque. L’air avait un léger parfum salé mêlé à une douceur indéfinissable—peut-être de la bougainvillée ? On s’est arrêtés pour prendre des photos, et j’ai tenté ce cliché carte postale dont tout le monde parle. Le mien est un peu de travers, mais honnêtement, ça lui donnait plus de charme.
Ensuite, direction Imerovigli—Maria l’a surnommé le « balcon de la mer Égée » et franchement, une fois là-haut face à la caldeira, j’ai compris pourquoi. Le vent s’est levé, j’ai dû tenir mon chapeau, et quelqu’un derrière moi a ri quand le sien s’est envolé (heureusement, il l’a récupéré). Un silence étrange s’est installé un instant—juste nous et la mer en contrebas. Puis on a fait une courte halte à Finikia. Ce village est plus calme, presque endormi. J’ai entendu des poules quelque part et senti l’odeur du café qui sortait d’une fenêtre ouverte. On voyait Oia au loin, mais ça semblait presque un autre monde.
Oia, c’est… animé, mais beau à sa façon. Maria nous a donné quelques conseils (« ne ratez pas la vue depuis l’ancien château si vous aimez les escaliers ! ») avant de nous laisser libres un moment. J’ai flâné dans des ruelles étroites baignées de lumière, me suis glissé dans une petite boutique où une dame vendait des câpres en pots—elle m’en a fait goûter une directement dans sa main, salée et piquante. J’en ai acheté deux sans réfléchir à comment les ranger dans mon sac. Quand on s’est retrouvés pour repartir vers Fira (en passant près du volcan Kolumbo—j’ai à peine attrapé l’histoire de sa dernière éruption racontée par Maria), mes jambes étaient fatiguées mais j’avais la tête légère. Peut-être une fatigue heureuse, ou juste le soleil.
La visite dure environ 3 heures, de la prise en charge au retour.
Oui, la prise en charge et le retour se font au sommet du téléphérique reliant le port à la ville de Santorin.
Oui, vous aurez du temps libre à Oia pour explorer, faire du shopping ou prendre un encas.
Oui, des arrêts photos sont prévus à Firostefani, Imerovigli et Finikia avant d’arriver à Oia.
Le déjeuner n’est pas inclus, mais vous aurez du temps à Oia pour acheter des snacks ou boissons si vous le souhaitez.
Cette visite n’est pas recommandée aux personnes à mobilité réduite à cause des distances à pied et des escaliers à Oia.
Un minibus confortable et climatisé est utilisé pour tous les trajets durant la visite.
Votre chauffeur/guide commente tout au long du parcours ; la visite se fait en anglais.
Votre journée comprend la prise en charge et le retour directement au sommet du téléphérique de Santorin (plus de stress pour se repérer), des transferts en minibus climatisé entre les villages (vous allez adorer), les commentaires de votre guide local à chaque arrêt, plusieurs pauses photos aux sites emblématiques comme les dômes bleus et les points de vue sur la caldeira, ainsi qu’un temps libre à Oia pour faire du shopping ou prendre un encas avant de retourner à votre bateau.
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