Vous voyagerez de Quito à travers les Andes équatoriennes — visitant des marchés colorés, randonnant autour du lac du cratère Quilotoa, prenant une télécabine au-dessus des cascades près de Baños, vous balançant au-dessus des forêts de nuages, rencontrant des artistes et tisserands locaux, et explorant le parc national Cotopaxi avec des guides experts qui connaissent tous les raccourcis et histoires en chemin.
La camionnette a quitté Quito alors que la ville s’éveillait à peine — la brume flottait encore sur les collines. Notre guide, Andrés, nous a fait repérer des lamas avant même d’avoir quitté la banlieue. Premier arrêt : l’un de ces marchés indigènes animés à Pujilí ou Zumbahua (selon le jour). Je me souviens de l’odeur du fromage frais et d’une femme vendant des petites pommes de terre rouges à la poignée. Nous avons fait un petit détour à Tigua, où des artistes peignent des scènes andines sur des peaux de chèvre — certaines de leurs œuvres sont maintenant exposées dans de grandes galeries, mais ici, on les rencontre face à face. Le canyon de Toachi est venu ensuite ; il est plus profond qu’il n’y paraît sur les photos et il y a un écho quand on crie d’un côté à l’autre.
Le lac du cratère Quilotoa est tout simplement magique — l’eau change de vert à turquoise selon les nuages. On peut randonner le long du bord ou descendre jusqu’au lac (la remontée est un vrai défi ; j’ai craqué et payé une balade à dos de mule). Le déjeuner s’est pris dans un petit restaurant tenu par des locaux — une soupe chaude et du pain frais, parfaits après cette randonnée. En route vers Baños, nous nous sommes arrêtés pour une glace aux fruits locaux. Elle fond vite dans la main mais son goût est incomparable à ce qu’on trouve chez nous.
Au réveil à Baños, on entend les oiseaux et parfois les cloches lointaines d’une église. Après le petit-déjeuner à l’hôtel La Floresta, nous sommes partis pour la route des cascades. Il y a une petite télécabine qui vous balance au-dessus de la rivière Pastaza — mon estomac a fait un saut, mais la vue sur la cascade Manto de la Novia en valait la peine. Le Pailón del Diablo est bruyant et sauvage ; on se fait tremper si on s’approche trop. La marche jusqu’à la cascade dure environ 45 minutes à travers une forêt dense — attention où vous mettez les pieds, ça devient boueux après la pluie.
De retour en ville pour le déjeuner (j’ai pris des empanadas chez un vendeur ambulant), puis direction la Casa del Árbol pour la fameuse balançoire au bout du monde. Ce n’est pas aussi effrayant que ça en a l’air — sauf si vous avez le vertige ! Le reste de l’après-midi était libre ; je me suis baladé sur la place principale de Baños où les enfants couraient après les pigeons et les vendeurs proposaient du jus de canne à sucre.
Le dernier jour a commencé tôt à nouveau — nous avons visité le village Salasaca où les habitants tissent des textiles sous vos yeux. Leur place principale sentait légèrement la laine et la fumée de bois. Ensuite, direction le parc national Cotopaxi : si les nuages sont coopératifs, vous verrez le volcan Cotopaxi dominer tout autour (il est immense — presque 5 900 mètres d’altitude). Notre guide a pointé des chevaux sauvages près du lac Limpiopungo tout en expliquant la fragilité de cet écosystème. Nous avons fait une randonnée autour du lac ; c’est plat mais frais avec le vent venant du glacier. Le déjeuner était simple mais copieux avant de retourner à Quito.
Oui ! Les enfants adorent les cascades et la balançoire à Baños. Certaines randonnées sont exigeantes mais des mules sont disponibles à Quilotoa si besoin.
Le mieux est de prévoir des vêtements en couches — il peut faire frais en altitude mais chaud à Baños. Prenez un imperméable au cas où ; le temps change vite ici.
Les petits-déjeuners sont inclus chaque matin à l’hôtel ; les déjeuners sont organisés localement pour vous faire découvrir la cuisine andine fraîche en chemin.
Pas de problème ! Il suffit de nous prévenir lors de la réservation pour que nous puissions prévoir des repas végétariens pendant votre séjour.
Votre excursion comprend la prise en charge et le retour à l’hôtel dans la région de Quito, deux nuits d’hébergement (comme à l’hôtel La Floresta), les petits-déjeuners, de l’eau en bouteille, toutes les activités listées (y compris les frais d’entrée), des rafraîchissements légers les jours de déplacement, ainsi que l’accompagnement de nos guides naturalistes qui sont aussi photographes pour que vous ne manquiez aucun moment.
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