Traversez le Mékong au lever du soleil pour une immersion authentique dans la vie ornithologique de Phnom Penh — repérez le Tailleur cambodgien et les Guêpiers avec un guide local qui connaît chaque chant. Parcourez les champs de lotus, partagez un petit-déjeuner au bord d’un lac paisible, et écoutez les oiseaux rares près des pagodes anciennes — des instants inoubliables bien après votre départ du Cambodge.
Il y a ce moment juste après le départ du ferry du quai d’Areyksat — la ville derrière nous, l’air frais du fleuve encore doux, et moi serrant mon café comme une bouée de sauvetage à 6 heures du matin. Notre guide, Dara, souriait en pointant la première touche de couleur dans les roseaux avant même que j’aie fini de bâiller. Je ne m’attendais pas à me sentir aussi éveillé si vite, mais il y a quelque chose dans l’odeur du Mékong à l’aube — un mélange de vert, de terre humide et de diesel des bateaux — qui vous ramène instantanément au présent.
Nous avons déambulé à travers les rizières près de Skyland, les chaussures humides de rosée. Dara reconnaissait le chant du Tailleur cambodgien rien qu’à l’oreille (j’ai essayé, sans succès). Il a ri quand j’ai plissé les yeux devant un Guêpier — « Vert ou à queue bleue ? » Honnêtement, je ne sais toujours pas. Les plantations de lotus s’éveillaient aussi ; les paysans nous saluaient au passage, et un bourdonnement d’insectes emplissait l’air. À un moment, un Drongo noir a survolé tout près — assez pour que je sente le souffle d’air sur ma joue. Le petit-déjeuner est arrivé juste à temps ; une table en plein air au bord d’un petit lac, un café bien corsé (merci le ciel), œufs et riz pendant que les talèves d’eau picoraient le long du rivage.
Après le petit-déjeuner, nous avons poursuivi à travers un enchevêtrement de verdure — Dara s’arrêtait à chaque nouvel appel dans le ciel. Il s’est discrètement enthousiasmé pour un Guifette moustac (j’ai fait semblant de le repérer en premier ; il n’a pas cru). Le soleil était levé mais pas encore trop chaud. Nous avons terminé à la pagode Pech Makod où il a raconté des histoires sur les Pitta à ailes bleues qui nichent à proximité en juin — pas vu cette fois, mais rien que l’écouter parler de ces oiseaux m’a donné envie de revenir en saison de reproduction. Il y avait un silence sous les arbres, différent — paisible mais vivant, si vous voyez ce que je veux dire.
La visite débute à 6h00 au quai du ferry d’Areyksat.
Oui, un petit-déjeuner est inclus dans un restaurant local en plein air au bord d’un petit lac.
Vous pourrez observer le Tailleur cambodgien, la Guifette moustac, les Guêpiers, le Drongo noir, la Talève violacée, le Héron chinois, et de nombreuses espèces des zones humides.
Oui, un véhicule climatisé est mis à disposition après la traversée en ferry.
Oui, les nourrissons et enfants sont les bienvenus ; poussettes et sièges bébé sont disponibles.
La visite est accessible en fauteuil roulant avec des options de transport adaptées.
Le dernier arrêt est la pagode Pech Makod avant le retour à Phnom Penh.
L’expérience dure environ une demi-journée, du début de matinée jusqu’à la fin de matinée.
Votre matinée comprend la prise en charge au quai du ferry d’Areyksat près de l’île de Koh Pich, tous les transports en ferry et en véhicule climatisé, des jumelles pour observer les oiseaux, un petit-déjeuner avec café ou thé dans un restaurant au bord du lac, ainsi que l’accompagnement d’un expert local en ornithologie tout au long de votre découverte des zones humides et pagodes de Phnom Penh.
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