Vous serez face aux collines en flammes de Yanar Dag, effleurerez les pétroglyphes millénaires de Gobustan et pénétrerez dans le temple du feu Ateshgah où les flammes dansent doucement dans les vieilles pierres. Avec la prise en charge à l’hôtel, les billets d’entrée et un guide local qui raconte des histoires entre chaque étape, cette excursion vous laissera de la poussière sur les chaussures — et un émerveillement qui dure bien plus longtemps que prévu.
« Ça brûle depuis cinq mille ans », nous a dit Rashad, notre guide, en plissant les yeux devant les flammes de Yanar Dag. Une odeur piquante flottait dans l’air — du gaz sans doute — et le vent me ramenait sans cesse les cheveux dans la bouche. On venait tout juste de quitter Bakou, à moins d’une heure de route, mais on avait déjà l’impression d’être ailleurs. Rashad plaisantait en disant que si on voulait faire griller des brochettes sur cette montagne en feu, on n’en finirait jamais ; ça ne s’éteint jamais. Je l’ai cru sur parole. Le sol sous mes chaussures était chaud. Franchement, je ne pensais pas me sentir aussi petit face à une colline qui brûle comme ça.
L’art rupestre de Gobustan était plus calme — presque trop après le feu. Notre groupe suivait Rashad en silence tandis qu’il montrait des gravures de chasseurs et de danseurs tracées dans la pierre il y a des milliers d’années. Il y a eu ce moment où tout le monde s’est tu en même temps, et on n’entendait plus que le vent souffler dans l’herbe sèche. Quelqu’un a demandé si on pouvait toucher les rochers (non), puis Rashad nous a raconté les tribus anciennes qui vivaient ici bien avant la création de Bakou. Mes mains se sont couvertes de poussière en m’appuyant sur un rocher pour mieux voir une des figures en bâtonnets.
J’ai ri en essayant de prononcer « Ateshgah » au temple du feu — la vendeuse de thé dehors m’a souri poliment, mais je suis sûr que j’ai massacré le mot. À l’intérieur, des flammes dansaient dans de petits autels de pierre, et l’air sentait un peu la fumée douce, presque comme de l’encens, mais pas tout à fait. Rashad nous a expliqué comment le culte du feu a marqué l’histoire de l’Azerbaïdjan ; il avait cette fierté discrète qui donnait envie d’écouter encore plus. Le soleil commençait à baisser, et tout s’est teinté d’or pendant quelques minutes avant qu’on remonte dans le van, les chaussures encore pleines de poussière des volcans de boue.
Gobustan se trouve à moins d’une heure de route du centre de Bakou.
Oui, la prise en charge est incluse pour certains hôtels de Bakou.
Vous visiterez la colline en feu de Yanar Dag, le temple du feu Ateshgah, le site d’art rupestre de Gobustan, les volcans de boue et la mosquée Bibi-Heybat.
Les billets sont inclus si vous choisissez l’option « tout compris » lors de la réservation.
La visite est adaptée à tous les niveaux de forme physique, mais déconseillée aux personnes avec des problèmes de dos.
Oui, les deux musées sont inclus lors de votre arrêt au site culturel d’art rupestre de Gobustan.
Pas besoin d’équipement particulier, préparez-vous juste à avoir les chaussures un peu poussiéreuses !
Votre journée comprend la prise en charge à l’hôtel depuis certains hôtels de Bakou, un transport confortable avec climatisation, les billets d’entrée si vous choisissez l’option tout compris, et un guide local passionné qui partage histoires et sourires à chaque étape — des mosquées anciennes aux montagnes en feu.
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