Vivez Aruba au plus près : des papillons qui effleurent votre peau à la ferme, des champs d’aloe à perte de vue, la brume marine aux ruines de Natural Bridge. Avec des guides locaux qui partagent leurs histoires et un transport privé entre chaque étape, vous découvrirez les incontournables et ces petits instants qui restent gravés longtemps.
La première chose qui m’a frappé, c’est l’air — doux et salé, mais avec une pointe de douceur, juste en sortant de la ferme aux papillons. Notre guide, Miguel, nous a souri en nous tendant une bouteille d’eau (« Vous allez en avoir besoin ! »), puis nous a fait traverser un enchevêtrement de feuilles vertes et d’ailes qui papillonnaient. Des enfants riaient en voyant un morpho bleu se poser sur le chapeau de quelqu’un. J’ai essayé de ne pas sursauter quand un papillon a frôlé mon bras — d’habitude je ne suis pas nerveux, mais ces petites bêtes de près, c’est autre chose. La buée sur mes lunettes à cause de l’humidité m’a fait sourire ; c’est drôle comme on oublie vite ces petits détails quand on regarde ces créatures voler.
La prochaine étape était l’usine d’Aloe Aruba. L’odeur m’a frappé avant même de descendre du bus — piquante et pure, presque médicinale. On a déambulé entre des rangées de plantes épineuses sous un ciel immense. À l’intérieur, une dame nommée Lisette nous a montré comment on coupe les feuilles (elle avait l’air de faire ça en un clin d’œil ; moi, j’y laisserais sûrement un doigt). Elle nous a laissé tester une lotion sur les mains — je repense encore à cette texture, fraîche et glissante après tout ce soleil dehors. Quelqu’un a demandé si les locaux utilisent vraiment l’aloe tous les jours ; Lisette a ri en disant que sa grand-mère en jure pour tout, sauf pour guérir un cœur brisé.
Le phare California paraissait plus petit de loin que ce à quoi je m’attendais — sûrement à cause du vent qui soufflait si fort là-haut qu’on avait l’impression de pouvoir être emporté. Miguel nous a raconté des histoires d’épaves pendant qu’on regardait les vagues s’écraser contre les rochers en contrebas. Aux formations rocheuses de Casibari, on a grimpé sur des blocs qui étaient chauds au toucher. Des lézards filaient entre les fissures et quelqu’un jouait de la musique sur son téléphone pas loin (pas vraiment l’ambiance d’antan, mais bon). En arrivant aux ruines de Natural Bridge et son petit « bébé » pont, j’ai réalisé que je n’avais pas regardé mon téléphone depuis des heures — juste le vent et les voix qui se mêlaient.
C’est une excursion d’une demi-journée avec plusieurs arrêts à Aruba.
Oui, un transport privé en bus climatisé est compris.
La ferme aux papillons, l’usine et musée Aruba Aloe, le phare California, les formations rocheuses de Casibari, les ruines de Natural Bridge et Baby Natural Bridge.
Oui, chaque participant reçoit de l’eau en bouteille pendant la visite.
Oui, les bébés peuvent être en poussette ou sur les genoux d’un adulte ; la visite convient à tous les niveaux de forme physique.
Oui, il est conseillé d’avoir un peu de liquide car la plupart des lieux n’acceptent que le cash pour les toilettes ou autres services.
Votre journée comprend un transport privé en bus climatisé entre chaque site ainsi que de l’eau en bouteille — vous n’aurez pas à vous soucier de la chaleur ni de l’organisation en passant des jardins de papillons aux champs d’aloe puis aux falaises rocheuses.
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