Respirez l’air pur des montagnes au lac Sevan, grimpez les marches des monastères anciens dans les forêts verdoyantes de Dilijan, et écoutez les histoires de votre guide local sur des routes sinueuses. Attendez-vous à des surprises — fleurs sauvages déposées dans les fenêtres en pierre ou pain frais vendu sur les chemins — avec prise en charge à Erevan et arrêts flexibles sur demande.
Je ne m’attendais pas à ce que le lac Sevan donne une telle sensation d’espace. Le ciel semblait infini, presque trop bleu, et le lac reposait là, tranquille sous cette étendue — un vent frais soufflait sur l’eau, avec une odeur de pierre mouillée. À peine sortis d’Erevan, notre chauffeur Arman nous a tendu une bouteille d’eau en souriant : « Vous allez en avoir besoin. » Il avait raison — le soleil tape fort ici. À Sevanavank, on a grimpé des marches en pierre bordées de fleurs sauvages, pendant qu’une dame du coin vendait du pain sucré dans un panier. J’ai essayé de la remercier en arménien ; elle a souri, même si j’ai sûrement fait des fautes.
La route vers Dilijan serpentait à travers des forêts de pins presque alpines — on appelle ça la « Suisse arménienne », et je comprends mieux pourquoi. Notre guide nous a raconté des histoires d’artistes soviétiques qui venaient ici chercher l’inspiration (je comprends leur envie de calme). Le monastère de Haghartsin semblait caché exprès, comme s’il voulait échapper au temps. À l’intérieur, l’air était frais et sentait un peu la cire de bougie. Quelqu’un avait déposé un bouquet de fleurs sauvages sur un vieux rebord en pierre — j’ai touché le mur, humide et rugueux.
Goshavank était notre dernière étape ; honnêtement, mes jambes étaient fatiguées, mais ça ne me dérangeait pas. Les khachkars à l’extérieur sont tellement finement sculptés qu’on pourrait les regarder des heures. Arman nous a montré des gravures datant de 1291 — c’est fou quand on y pense. On s’est assis un moment sur un banc, juste à écouter les oiseaux (et un marteau au loin, signe de travaux), sans trop parler. Sur le chemin du retour à Erevan, je n’arrêtais pas de repenser à cette vue sur le lac Sevan — j’arrive toujours pas à la décrire correctement.
Il faut environ une heure en voiture pour aller d’Erevan au lac Sevan.
Oui, la prise en charge et le retour gratuits dans Erevan sont inclus.
Oui, vous pouvez choisir un guide professionnel anglophone ou russophone.
Les bébés sont les bienvenus ; des sièges adaptés sont disponibles si besoin.
Dilijan est réputé pour ses forêts denses et est surnommé la « Suisse arménienne ».
Oui, des arrêts supplémentaires peuvent être organisés sur demande.
Goshavank a été fondé par Mkhitar Gosh et possède des khachkars uniques sculptés en 1291.
Le déjeuner n’est pas inclus, mais il y a des endroits pour acheter à manger en chemin.
Votre journée comprend la prise en charge et le retour gratuits partout à Erevan, un transport confortable climatisé avec assurance pour tous les passagers, de l’eau en bouteille pendant le trajet, et un guide professionnel anglophone ou russophone si vous choisissez cette option. Des arrêts supplémentaires peuvent être ajoutés sur demande auprès de votre chauffeur pendant le voyage.
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