Plongez dans la nuit d’Istanbul avec de nouveaux amis, entre shots de bienvenue, jeux à boire et trois clubs en bus festif. Nos guides locaux connaissent tous les raccourcis et les meilleurs toits, avec entrées et boissons offertes. Attendez-vous à rire, danser, peut-être un peu de courage au raki, et des souvenirs qui restent bien après le lever du soleil.
Ce dont je me souviens en premier, c’est le son — la musique qui s’échappe des ruelles étroites d’Asmalı Mescit, les rires en une douzaine de langues. On a retrouvé notre guide (Emre, super cool) juste devant une porte éclairée au néon. Il nous a tendu ces petits verres en plastique — « bienvenue à Istanbul ! » a-t-il lancé, et franchement, ce premier shot brûlait bien, mais dans le bon sens. Des jeux à boire avaient déjà commencé aux tables ; j’ai essayé, et j’ai perdu direct. Pas de honte.
On a avancé en groupe dans Nevizade, bondé même un jeudi — les locaux criaient par-dessus les uns les autres, les serveurs jonglaient avec des plateaux de meze et de bières comme si de rien n’était. Emre nous montrait des détails que je n’aurais jamais remarqués : les vieux jouant au backgammon sur le trottoir, ou comment chaque bar cache son propre toit secret (il a fait un clin d’œil en disant qu’on allait voir ça). L’air sentait le poisson grillé et la fumée de cigarette. À un moment, on est tous montés dans ce bus festif — clim à fond, quelqu’un a passé une bouteille de raki (j’ai essayé de boire doucement, mais ça monte vite). Les lumières de la ville dehors devenaient un peu floues après ça.
La nuit à Istanbul est folle mais étrangement chaleureuse. Chaque club avait sa vibe — l’un avait un sol collant et de la pop turque des années 90 ; un autre était tout en verre, avec vue sur le Bosphore si on plissait un peu les yeux entre les danseurs. Shots offerts à chaque arrêt (ma tête s’en est souvenue le lendemain), et Emre nous a même fait passer devant les files d’attente. Il y avait des gens du Brésil, d’Allemagne, de Corée — tout le monde s’est rapidement connecté au deuxième bar. Quelqu’un a renversé son verre sur mes chaussures, mais s’est excusé en trois langues, impossible de s’énerver.
Je ne pensais pas me sentir aussi à l’aise dans ce chaos. Il y a ce moment vers minuit où tu te retrouves sur un toit avec des inconnus devenus amis, à regarder les lumières d’Istanbul — c’est bruyant, désordonné, mais parfait à sa manière. Je repense souvent à cette vue quand j’entends de la pop turque chez moi.
Vous découvrirez au moins trois lieux incontournables durant la soirée.
Oui, un bus climatisé vous emmène d’un bar à l’autre.
Des shots gratuits à chaque arrêt, plus un shot de bienvenue au point de rendez-vous.
Le départ se fait à Asmalı Mescit, dans le quartier de Taksim.
Vous devez avoir plus de 18 ans pour rejoindre la soirée.
Oui, l’entrée aux trois établissements est comprise dans la réservation.
Non, seuls les boissons sont incluses dans l’expérience.
Vous pouvez venir seul ou entre amis ; beaucoup viennent seuls pour rencontrer du monde.
Votre soirée comprend l’entrée gratuite dans trois lieux du quartier Taksim, des cocktails de bienvenue et des shots de raki à chaque arrêt, un trajet en bus climatisé entre les bars (avec encore plus de raki), des jeux à boire au début, des photos pro tout au long de la nuit, et l’accompagnement de guides locaux qui connaissent tous les bons plans, avant de rentrer quand vous le souhaitez (ou pouvez).
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