Ressentez l’intense esprit footballistique de Belgrade en visitant les stades Red Star et Partizan avec un guide local, en arpentant les quartiers de supporters aux couleurs des clubs, en découvrant les musées et vestiaires, et en marchant vous-même sur les terrains mythiques — le tout avec un transport privé inclus. Une plongée dans la rivalité que vous n’oublierez pas.
La première chose qui m’a frappé, c’était les graffitis — de larges bandes rouges et blanches qui enroulaient les vieux immeubles de Belgrade, avant de laisser place, quelques rues plus loin, au noir et blanc. Notre guide, Marko, a souri en me voyant observer. « Tu es maintenant en territoire Zvezda », m’a-t-il dit en tapotant une fresque d’un joueur au regard fou. L’air sentait légèrement le maïs grillé d’un vendeur ambulant, et on entendait quelqu’un passer les hymnes du club à fond depuis une fenêtre ouverte. Je ne pensais pas ressentir la rivalité avant d’arriver aux stades, mais elle est partout ici.
Le stade Red Star (appelé Marakana par les locaux) est immense — des couloirs résonnants, des banderoles fanées, cette odeur un peu poussiéreuse qu’on retrouve dans les vieilles arènes sportives. On a déambulé dans les vestiaires où les maillots semblaient suspendus comme des fantômes, et Marko racontait des histoires de matchs qui ont retourné la ville. Il nous a même laissé sortir par le tunnel pour rejoindre les tribunes ; j’ai essayé d’imaginer 50 000 supporters hurlant en même temps. Ça m’a donné des frissons, sans savoir pourquoi. Il y a aussi un musée — des trophées derrière une vitre, des photos jaunies sur les bords. Je suis resté un peu plus longtemps que prévu devant l’un d’eux.
Ensuite, on a traversé la ville pour rejoindre le camp Partizan. L’ambiance a changé — moins lisse, plus brute, d’une certaine façon. Dans le quartier de Dorćol, chaque mur semblait couvert de fresques ou de slogans en noir et blanc (j’ai essayé d’en lire un à voix haute, Marko a ri de mon accent). Au stade Partizan, on a pu marcher directement sur la pelouse — un peu rugueuse sous mes chaussures — et jeter un œil dans les salles de conférence où les accords se concluent sûrement autour d’un café corsé. Les histoires ici semblaient différentes : plus de courage que de gloire, peut-être ? Difficile à expliquer si on n’est pas là.
Je ne suis même pas un fan inconditionnel de foot, mais parcourir ces quartiers avec quelqu’un qui a grandi ici rend tout ça très personnel. On comprend à quel point ces clubs comptent pour les gens — pas seulement des matchs, mais des vies entières tissées de couleurs, de chants et de rivalités anciennes qui ne s’effacent jamais vraiment. Je repense souvent à ce moment où j’ai foulé la pelouse sous le soleil, entendant au loin les acclamations résonner sur des sièges vides… ça reste gravé.
La visite comprend 45 minutes dans chaque stade, plus le temps de trajet entre les sites.
Oui, le transfert depuis l’endroit de votre choix est inclus dans la visite.
Oui, vous découvrirez les stades Crvena Zvezda (Red Star) et Partizan au cours de la visite.
Toutes les entrées et taxes sont comprises dans votre réservation.
Oui, un guide local vous accompagne tout au long de l’expérience.
Un transport privé est inclus pour tous les déplacements de la visite.
La visite s’adresse à tous ceux qui s’intéressent à la culture de Belgrade, pas seulement aux amateurs de foot.
Votre journée comprend un transport privé climatisé avec WiFi à bord, l’entrée aux stades Red Star et Partizan (musées et vestiaires inclus), tous les frais et taxes, ainsi que le transfert depuis votre hébergement à Belgrade avant de vous ramener à la fin de cette aventure footballistique.
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