Descendez à vélo du Parque Eduardo VII à travers les quartiers animés de Lisbonne avec un guide local, faites une pause ginjinha en centre-ville et savourez un pastel de nata chaud à Belém. Des histoires à chaque place, des vues sur le fleuve à photographier deux fois, et tout le temps pour ressentir le rythme de la ville à deux roues.
Les mains serrées sur le guidon, je suivais notre guide — Miguel, je crois ? — qui nous faisait signe depuis le sommet du Parque Eduardo VII. C’était ce genre de matin où l’air sentait à peine le café et les jacarandas en fleurs. On a filé en descente devant la place du Marquis de Pombal, et je jetais des regards furtifs aux trottoirs en mosaïque et aux vieux tramways qui grinçaient à côté. Quelqu’un dans le groupe a sonné trop tôt à un passage piéton ; Miguel a juste souri et nous a rassurés : « Les conducteurs de Lisbonne sont habitués aux touristes à vélo. »
On a roulé sur l’Avenida da Liberdade en évitant les flaques laissées par la pluie de la veille (j’ai eu un pied mouillé — classique). À la place du Rossio, Miguel a attiré notre attention sur les pavés ondulés sous nos roues et nous a raconté le tremblement de terre de 1755 — franchement, je n’avais jamais pensé à tout ce que l’histoire cache sous nos pieds ici. Près de l’église São Domingos, on s’est arrêtés pour un verre de ginjinha. Ça brûlait doux et fort ; j’ai dû faire une drôle de tête parce qu’une dame plus âgée devant le bar a rigolé. Elle a dit quelque chose en portugais que je n’ai pas compris, mais ça sonnait sympa.
Il y a eu un moment au bord du fleuve — je m’en souviens parce que tout s’est ralenti un instant. La lumière sur l’eau faisait presque rosir le pont 25 de Abril. On est passés devant les docks de Santo Amaro où certains prenaient déjà leur déjeuner (à 11h du matin !), puis on a filé devant les courbes blanches du MAAT et cette ancienne centrale électrique. À Belém, on a enfin goûté le pastel de nata dans un café qui sentait la vanille et le sucre brûlé. La pâte feuilletée croustillait partout. Miguel a dit qu’il faut les manger chauds, sinon ça ne compte pas ; il avait raison.
Je repense encore à cette balade — le rythme tranquille en descente, personne ne nous pressait même quand on traînait trop sur la place du Commerce ou qu’on posait des questions sur les ruelles d’Alfama. C’était moins une visite guidée qu’une virée avec quelqu’un qui connaît tous les raccourcis de Lisbonne. Alors oui, si vous cherchez une sortie d’une journée du centre vers Belém, détendue mais pleine de petites surprises (et de pâtisseries), c’est sûrement celle-là.
La visite dure environ une demi-journée, du Parque Eduardo VII jusqu’à Belém.
Oui, le parcours est majoritairement en descente ou plat, sans montée ; sièges bébé et vélos enfants disponibles sur demande 24h à l’avance.
Vous goûterez la liqueur de cerise ginjinha en centre-ville et un pastel de nata dans un café en chemin.
Le départ se fait au Parque Eduardo VII, en plein centre, et l’arrivée dans le quartier historique de Belém.
Oui, des casques sont inclus pour tous les participants avec la réservation.
Non, vous verrez les monuments comme la Tour de Belém de l’extérieur, tandis que le guide en raconte l’histoire.
La visite a lieu par tous les temps ; pensez juste à prendre des vêtements adaptés aux changements météo à Lisbonne.
Oui, plusieurs options de transports en commun sont disponibles près du point d’arrivée à Belém.
Votre journée comprend l’utilisation d’un vélo avec casque, un guide local qui partage des histoires à chaque arrêt, la dégustation de ginjinha en centre-ville et d’un pastel de nata chaud à Belém, ainsi qu’une assurance pour rouler en toute sérénité dans les rues de Lisbonne.
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