Partez de Katmandou avec un siège fenêtre garanti pour admirer de près le Mont Everest et une vingtaine de sommets himalayens — sans marcher. Transfert hôtel inclus et guide local pour partager histoires et repérer chaque sommet. Ce premier regard à travers la vitre givrée reste gravé.
Je vais être honnête — j’ai réservé ce vol pour le Mont Everest depuis Katmandou surtout parce que je savais que je n’arriverais jamais au camp de base à pied (mes genoux ont lâché à Pokhara l’an dernier). Mais assis à l’arrière de ce van à 5h30 du matin, serrant mon café à emporter de l’hôtel, j’ai ressenti un mélange étrange de nervosité et d’excitation. Notre chauffeur n’a presque rien dit, mais il a souri en me voyant galérer avec mon appareil photo. La ville s’éveillait doucement — quelques chiens errants et une odeur d’encens qui flottait depuis une porte quand on est partis.
L’aéroport était plus animé que prévu au lever du soleil. Notre guide, Suman, distribuait les cartes d’embarquement en plaisantant sur la « chance des nuages » — apparemment chacun a sa superstition pour un ciel dégagé. L’avion était plus petit que tous ceux que j’avais pris, et quand ils promettent un siège fenêtre garanti, c’est vraiment le cas ; on peut presque coller le nez à la vitre. Au décollage, un silence s’est installé — même le couple australien bavard derrière moi s’est tu. Puis la ville s’est effacée et devant nous, ces crêtes sauvages sont apparues, et soudain, net, l’Everest est là. Ce n’est pas ce à quoi je m’attendais — plus brut, moins carte postale. Le soleil frappait la neige, donnant une lumière bleu-blanc incroyable. Mes mains étaient glacées contre la vitre.
Suman a aussi montré Gauri Shankar et Langtang Lirung (je n’arrive toujours pas à bien prononcer leurs noms). Il a distribué une petite carte pour qu’on puisse associer pics et noms. À un moment, il a ri quand j’ai essayé de dire « Chamlang » en népalais — j’ai dû massacrer le mot. Il y a quelque chose de surréaliste à survoler vingt sommets en moins d’une heure ; on se sent tout petit, mais aussi chanceux d’être là. Au retour vers Katmandou, l’ambiance était plus calme — sans doute pour savourer le moment ou penser au petit-déjeuner.
De retour à l’hôtel avant même que la plupart des gens aient fini leur thé. Parfois, je repense à ce silence là-haut, juste le ronron du moteur et Suman qui nous montrait discrètement les sommets derrière nos épaules. Si vous voulez voir l’Everest sans chausser vos bottes de randonnée ni souffrir d’ampoules, ça vaut vraiment le coup de se lever tôt.
Le vol dure entre 50 minutes et une heure.
Oui, le transfert depuis et vers votre hôtel à Katmandou est inclus.
Oui, chaque passager bénéficie d’un siège fenêtre garanti pendant le vol.
Vous verrez jusqu’à 20 sommets, dont Gauri Shankar et Langtang Lirung.
Oui, il est adapté à tous les niveaux et accessible aux fauteuils roulants et poussettes.
Votre billet est entièrement remboursé si le vol ne peut pas avoir lieu à cause de la météo.
Oui, un guide local vous aidera à identifier les sommets et facilitera les démarches à l’aéroport.
Votre journée comprend la prise en charge à votre hôtel de Katmandou jusqu’à l’aéroport Tribhuvan, un vol d’environ une heure en montagne avec siège fenêtre garanti pour chaque passager, l’accompagnement d’un expert local pendant l’enregistrement et l’observation des sommets, puis le retour et dépose à votre hôtel. Un certificat souvenir vous sera remis avant de replonger dans la vie urbaine.
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