Choisissez votre propre aventure à Kyoto : flânez dans Gion avec un guide local qui vous dévoile les secrets des geishas, sentez les pierres millénaires du temple Kiyomizu-dera, goûtez aux saveurs surprenantes du marché Nishiki, ou perdez-vous dans la forêt de bambous d’Arashiyama — le tout avec un transport privé facile et une prise en charge incluse.
La première chose qui m’a frappé, c’est le son — pas celui des voitures ni des conversations, mais le léger claquement des sandales en bois quelque part à Gion. Notre guide, Mme Sato, a souri quand je lui ai demandé ce que c’était. « Maiko », a-t-elle chuchoté, comme si en parler trop fort allait les faire fuir. On venait juste de sortir de notre van (un vrai soulagement dans ces rues pavées et irrégulières) et on était déjà plongés dans les histoires des rituels des geishas et des ruelles éclairées à la lanterne. J’ai essayé de prononcer « Gion » correctement ; elle a ri et m’a gentiment corrigé — apparemment mon accent faisait ressembler ça à « oignon ».
Pour notre journée, on a choisi quatre étapes parmi une longue liste — le temple Kiyomizu-dera était la première, perché au-dessus de la ville comme un gardien silencieux. L’air sentait légèrement l’encens et la pluie sur la pierre. Mme Sato nous a montré comment les habitants jettent des pièces dans le sanctuaire pour porter chance (j’ai complètement raté le bol). Plus tard, au marché Nishiki, j’ai goûté une spécialité marinée et violette dont je n’ai toujours pas trouvé le nom. Le marché était un joyeux bazar — des étals minuscules, de la vapeur qui s’échappait des marmites, un vendeur qui me tendait un échantillon avec un signe de tête avant de passer au suivant.
Je ne m’attendais pas à ressentir autant de calme dans la forêt de bambous d’Arashiyama après tout ce tumulte. La lumière y est étrange — douce et verdâtre, presque comme sous l’eau. On a marché en silence un bon moment ; même mon téléphone est resté dans ma poche pour une fois. Sur le chemin du retour vers notre van (qui ressemblait presque à un portail magique entre deux mondes), Mme Sato nous a raconté les esprits renards du sanctuaire Fushimi Inari et comment les locaux viennent y prier pour de bonnes récoltes ou la réussite de leurs affaires. Elle nous a confié qu’elle y va chaque jour de l’An avec sa famille.
En fin d’après-midi, mes jambes étaient fatiguées mais pas épuisées (merci les roues), et ma tête pleine d’images : la feuille d’or scintillant au Kinkaku-ji, les fortunes en papier flottant dans la brise des temples, la façon dont les inconnus s’inclinent légèrement en vous croisant dans les ruelles étroites. Kyoto est plus calme que Tokyo, mais d’une vie plus profonde — c’est sans doute ce que je retiendrai le plus.
Oui, tous les lieux et véhicules sont accessibles aux fauteuils roulants, et les poussettes sont les bienvenues.
Le groupe est limité à 15 participants maximum par visite.
Oui ! Vous choisirez 4 à 5 lieux parmi une liste fournie après la réservation.
Oui, la prise en charge est incluse — votre guide s’occupera des détails après votre réservation.
Oui, les bébés et jeunes enfants sont acceptés ; des sièges adaptés sont disponibles sur demande préalable.
Votre guide local agréé parlera anglais tout au long de la visite privée.
Aucun frais d’entrée n’est mentionné comme inclus ; vérifiez avec votre guide lors de la préparation.
La durée dépend des sites choisis, mais couvre généralement 4 à 5 lieux confortablement en une journée.
Votre journée comprend un transport privé confortable avec prise en charge personnalisée (hôtel ou lieu convenu), un guide local anglophone agréé qui vous contactera après réservation pour organiser votre itinéraire ensemble, ainsi que la flexibilité de choisir 4 à 5 temples, jardins ou marchés favoris parmi une longue liste avant de partir à la découverte de l’histoire vivante de Kyoto.
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