Vous prendrez une navette quotidienne aller-retour de Kazbegi à Juta, avec une courte pause parmi les mystérieuses statues de pierre du village de Sno avant de monter dans l’air pur des montagnes. Horaires fixes, pas de guide, vous êtes libre de randonner ou simplement de profiter des vues du Caucase jusqu’au retour.
Vous ouvrez les yeux et voilà cet air vif de montagne à Stepantsminda — il fait presque frais même en juillet, mais le soleil rebondit déjà sur les sommets. J’ai trouvé le petit bureau de bus juste à côté de la place principale (impossible de le rater, tout le monde semble s’y rassembler avec sacs à dos et un brin d’excitation). Notre chauffeur, Giorgi, a juste hoché la tête en vérifiant les noms. Pas de discours, juste cette façon géorgienne de faire les choses simplement et efficacement.
Le trajet jusqu’à Juta dure environ 40 minutes, mais pas une seconde d’ennui. À mi-chemin, Giorgi s’est arrêté près de ces énormes têtes de pierre dans le village de Sno. Il les a appelées « l’Île de Pâques géorgienne », ce qui m’a fait sourire — elles ne sont pas aussi grandes que je l’imaginais, mais elles ont une présence étrange. On a eu une dizaine de minutes pour les explorer ; j’ai touché l’une d’elles, mes doigts sont devenus poussiéreux et froids. Quelqu’un a essayé de prononcer leurs noms (Li a rigolé quand j’ai massacré « Shota Rustaveli »). Puis on est remontés dans le bus, qui serpente plus haut dans les vallées verdoyantes.
Juta est perchée à 2200 mètres — on le sent dans les poumons quand on marche un peu vite. L’air sent l’herbe et la laine de mouton, vraiment. Pas de guide ici ; une fois déposé, vous êtes libre jusqu’à l’heure du retour (ne perdez pas votre ticket). Certains partent directement vers le lac Chaukhi, d’autres s’installent sur des rochers à contempler ces montagnes déchiquetées. Moi, j’ai erré un peu avant de m’arrêter pour un café dans une petite maison d’hôtes — je repense encore à ce silence, juste troublé par les cloches des vaches et le vent.
Le bus du retour part pile à l’heure (ils ne traînent pas), alors guettez les nuages qui montent derrière la crête. Sur le chemin du retour, tout le monde était plus calme — fatigué ou simplement absorbé par cette lumière si particulière des hauts plateaux. C’est simple : c’est juste une navette aller-retour entre Kazbegi et Juta avec un arrêt rapide à Sno, mais ça a eu ce petit quelque chose en plus d’un simple trajet.
Le trajet dure environ 30 à 40 minutes dans chaque sens.
Non, pas de prise en charge à l’hôtel ; les bus partent du bureau principal à Stepantsminda (Kazbegi).
Les bus partent tous les jours à 9h15 (retour à 17h30) et 11h15 (retour à 19h30).
Oui, une courte pause d’environ 10 minutes est prévue aux statues de pierre de Sno en chemin vers Juta.
Non, il s’agit d’un transfert indépendant sans guide.
Non, les billets sont valables uniquement pour le départ et le retour le même jour aux horaires fixés ; aucun changement possible.
En cas de fermeture pour travaux, le bus s’arrête à 3 km de Juta ; il faut alors marcher cette portion aller-retour.
Oui, les bébés sont acceptés mais doivent être assis sur les genoux d’un adulte pendant le trajet.
Votre billet couvre le transfert en bus aller-retour entre Stepantsminda (Kazbegi) et Juta, toutes taxes incluses, avec un arrêt bref aux statues de pierre du village de Sno. Apportez simplement vos plans de randonnée et soyez prêts aux horaires fixes pour le retour.
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