Traversez à pied vers Tijuana avec un guide local qui garde l’ambiance détendue et authentique. Attendez-vous à des marchés animés, des ruelles d’art audacieuses et du temps sur l’Avenida Revolución, pleine de couleurs et de sons. Une pause boisson est prévue (tequila pour les courageux), avec des occasions d’échanger avec les locaux ou de grignoter — n’oubliez pas votre passeport et votre curiosité.
J’ai failli rater le trolley à San Diego — apparemment, il faut de la monnaie exacte pour le distributeur (qui porte encore des pièces ?). J’étais déjà un peu stressé quand j’ai retrouvé notre guide, Arturo, à la frontière. Il a juste souri et dit : « Bienvenidos ! Ça arrive à tout le monde. » L’air avait tout de suite une autre vibe — plus chaud, avec ce mélange de fumée de grillades et de sucre de churros qui flottait dans l’air. J’ai fait semblant de ne pas être trop nerveux avec mon espagnol rouillé.
On a commencé la balade sur l’Avenida Revolución, que Arturo appelle « le cœur de Tijuana ». C’est bruyant, mais dans le bon sens — musique qui sort des portes ouvertes, vendeurs ambulants qui crient en espagnol et en anglais, gens qui rigolent autour de micheladas en terrasse. On s’est arrêtés au grand Arco Monumental pour des photos (il est plus imposant en vrai), puis on s’est glissés dans un marché où l’odeur des piments séchés m’a fait éternuer. Des stands vendaient de tout, des masques de lucha libre aux petites tasses en terre cuite. Arturo a montré une femme qui faisait des tortillas à la main ; sa famille est là depuis des décennies. J’en ai acheté une juste parce qu’elle m’a souri — chaude, moelleuse, disparue en deux bouchées.
Il y avait une ruelle pleine de fresques et de petits stands d’artisanat tenus par des artistes locaux. Un gars peignait sur des bouts de carton — il a hoché la tête quand on l’a regardé mais n’a pas trop parlé. Arturo nous a raconté un peu l’histoire du street art ici, mais surtout on a pu flâner librement. À un moment, on a fait une pause pour boire un coup (oui, tequila — aucun regret). Le verre était frais et salé ; mon amie a essayé de commander en espagnol et a éclaté de rire en confondant « limón » et « limón verde ».
Je ne m’attendais pas à me sentir aussi… bien accueilli ? Même en tant qu’évident touriste, les gens ont été patients quand je bafouillais ou hésitais aux passages piétons. À la fin de cette journée à Tijuana depuis San Diego, mes pieds me faisaient mal mais j’avais presque envie de continuer — il y a une énergie qui reste avec vous une fois la frontière repassée. Et cette tortilla, j’y pense encore parfois.
Oui, le passeport est obligatoire pour ce tour qui traverse la frontière depuis San Diego.
Non, il n’y a pas de prise en charge à l’hôtel ; vous retrouvez votre guide près du poste frontière.
La durée exacte n’est pas précisée, mais elle est pensée pour les voyageurs avec peu de temps à San Diego.
Les repas ne sont pas inclus ; des arrêts sont proposés selon les envies du groupe pour grignoter ou boire un verre.
Vous parcourrez l’Avenida Revolución, verrez l’Arco Monumental, visiterez un marché mexicain et explorerez une ruelle d’art.
Oui, des options de transport public sont disponibles près du point de rendez-vous avec votre guide.
Cette visite n’est pas recommandée aux personnes souffrant de problèmes de dos, de santé cardiovasculaire fragile ou aux femmes enceintes.
Les bébés sont acceptés mais doivent rester sur les genoux d’un adulte pendant toute la visite.
Votre journée comprend une visite guidée à pied dans le centre de Tijuana avec des arrêts aux lieux clés comme l’Avenida Revolución, les marchés locaux, les ruelles d’art — et du temps prévu pour grignoter ou boire si vous le souhaitez (non inclus). Pensez à votre passeport, car vous traverserez à pied depuis San Diego avec votre guide local avant de revenir le soir même.
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