Vous partirez de Granville Island accompagné d’un naturaliste marin à la recherche d’orques et de baleines à bosse le long des côtes sauvages de Vancouver. Attendez-vous à respirer l’air salé, observer de près phoques et aigles, et recevoir des conseils en direct sur la faune. Eau en bouteille, crème solaire si besoin, et ce moment magique où une baleine apparaît enfin — un souvenir qui reste gravé.
Je me souviens encore de la première chose qui m’a frappé — l’air avait un goût différent en quittant Granville Island, un mélange de sel et d’une touche de verdure. Le bateau vibrait doucement, et notre guide (je crois qu’elle s’appelait Maya ?) a tout de suite commencé à nous montrer des petits détails : un pygargue à tête blanche posé si immobile que j’ai failli le manquer. Elle a fait passer la crème solaire, un peu collante mais indispensable — apparemment, même sous les nuages ici, on peut vite attraper un coup de soleil. La ville s’est estompée derrière nous plus vite que prévu. Quelqu’un a plaisanté en demandant si les baleines apparaissaient vraiment ou si c’était juste du marketing. Maya a souri et répondu : « On va voir qui les repère en premier. »
Le détroit de Géorgie est plus vaste qu’on ne l’imagine sur une carte — on a cette sensation d’eau et de ciel à perte de vue, avec les montagnes qui se dessinent au loin. À un moment, tout a changé : un jet de brume à tribord, et tout le monde s’est précipité pour sortir les appareils photo. C’était une baleine à bosse (Maya l’a surnommée « Split Fin », ce qui m’a fait sourire), qui se courbait lentement, comme dans une chorégraphie. Je ne vais pas mentir, mes mains tremblaient en essayant de la prendre en photo. On a aussi vu des phoques, entassés sur les rochers comme s’ils étaient chez eux, et des lions de mer qui aboyaient sans raison apparente.
Il y a un silence particulier quand on attend que les baleines refassent surface — tout le monde retient son souffle en même temps. Parfois, Maya racontait des histoires sur les efforts locaux de conservation ou comment les orques transmettent leurs techniques de chasse de génération en génération (j’ai essayé de retenir la moitié, mais j’étais surtout captivé par le spectacle). Le vent s’est levé plus tard, et j’ai regretté de ne pas avoir pris une couche supplémentaire ; quelqu’un m’a proposé la sienne sans même me demander mon nom. C’est le genre de journée qu’on n’oublie pas.
La sortie dure généralement environ 4 heures, mais peut varier entre 3 et 5 heures selon où se trouvent les animaux.
Si aucune baleine n’est vue pendant votre sortie, vous bénéficierez d’une nouvelle sortie gratuite sans limite de validité.
Le départ se fait depuis la célèbre Granville Island à Vancouver.
Oui, chaque sortie est guidée par un naturaliste marin professionnel spécialiste de la faune locale.
Vous pourrez apercevoir des orques, des baleines à bosse, des phoques, des lions de mer, des marsouins, des aigles et divers oiseaux marins.
De l’eau en bouteille est disponible à bord ; l’usage de bouteilles réutilisables est encouragé.
Oui, tous les bateaux disposent de toilettes pour les passagers.
Les enfants sont les bienvenus mais doivent être accompagnés d’un adulte ; une taille minimum de 1,52 m est requise.
Le transfert depuis l’hôtel n’est pas inclus ; des options de transports en commun sont disponibles près de Granville Island.
Votre journée comprend le départ de Granville Island avec un biologiste marin professionnel comme guide, de l’eau en bouteille (mais les bouteilles réutilisables sont préférées), de la crème solaire si besoin, et l’accès aux toilettes à bord pendant cette aventure de 3 à 5 heures à la recherche des baleines et autres animaux marins le long de la côte de Vancouver, avant le retour à terre.
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