Montez au Corcovado pour admirer le Christ Rédempteur, flânez sur les escaliers mosaïques de Selarón, sentez le sable chaud de Copacabana sous vos pieds et écoutez les récits locaux en chemin. Avec les billets inclus et un guide sympa qui s’occupe de tout, vous verrez Rio autrement que sur une carte postale.
« Tu vois cette colline ? » nous a demandé Paulo, notre guide, en pointant par la fenêtre du van alors que nous montions vers le Corcovado. Encore à moitié endormi à cause du décalage horaire, j’entendais déjà la ville vibrer — des rythmes de samba s’échappant d’une boulangerie, quelqu’un vendant du pão de queijo tout frais au coin de la rue. La montée ressemblait à une lente révélation ; à chaque virage, Rio dévoilait son mélange sauvage de verdure et de béton. Quand on est enfin sortis au pied du Christ Rédempteur, je ne m’attendais pas à ce que le vent soit si frais là-haut, ni à ce que tout le monde se fasse tout à coup silencieux en découvrant cette vue. Ce n’est pas qu’une statue — c’est cette sensation de flotter au-dessus de tout, avec Rio qui s’étale à perte de vue.
Ensuite, Paulo nous a emmenés aux escaliers Selarón. Il nous a raconté l’histoire de Jorge Selarón — « le Chilien tombé amoureux du Brésil », comme il l’a dit — et j’ai essayé de repérer des carreaux de mon pays (j’en ai trouvé un du Portugal). Les escaliers explosent de couleurs, de rires, de musiciens de rue jouant un air qui ressemblait à de la bossa nova, ou peut-être pas tout à fait. Une odeur de maïs grillé flottait dans l’air, venue de quelque part pas loin. Je ne sais pas pourquoi, mais ça m’est resté en tête.
On est passés devant le stade Maracanã puis on s’est arrêtés un moment à la plage de Copacabana. Le sable était déjà brûlant sous mes pieds, même si ce n’était que la fin de la matinée. Les locaux jouaient déjà au volley sur la plage — franchement, ils avaient l’air de le faire sans effort. J’ai acheté de l’eau de coco à un vieux monsieur qui m’a appelé « amigo » en me faisant un clin d’œil quand j’ai balbutié mon portugais rouillé (il a ri aussi). On a aussi traversé le Sambadrome ; Paulo nous a expliqué comment le Carnaval envahit toute l’avenue — difficile d’imaginer toute cette énergie concentrée en un seul endroit avant de la voir de ses propres yeux.
Je pensais que le Christ Rédempteur serait le moment fort, mais ce sont ces petits instants — comme voir les Cariocas se saluer avec ces baisers rapides sur la joue ou la lumière du soleil qui danse sur les carreaux cassés des escaliers Selarón — qui restent gravés dans ma mémoire. Alors oui, si vous cherchez une vraie journée à Rio avec un guide local qui connaît les vraies histoires derrière chaque lieu (et avec prise en charge incluse), c’est celle-ci qu’il vous faut.
La visite complète dure généralement entre 7 et 8 heures, incluant tous les arrêts principaux et les trajets.
Oui, la prise en charge et le retour à l’hôtel sont inclus dans les zones centrales de Rio.
Oui, votre billet pour le Corcovado et le Christ Rédempteur est inclus dans le prix de la visite.
La visite est accessible aux fauteuils roulants, y compris les véhicules et les principales attractions.
Vous aurez un moment libre à Copacabana pour marcher ou vous détendre avant de repartir.
Votre journée comprend la prise en charge et le retour à l’hôtel en véhicule climatisé, les billets pour le Corcovado (Christ Rédempteur), un guide local bilingue qui partage des histoires à chaque étape, ainsi que suffisamment de temps pour explorer les escaliers Selarón et la plage de Copacabana avant de rentrer confortablement.
Besoin d’aide pour planifier votre prochaine activité ?