Vous poserez les yeux sous des arches millénaires avec le Mont Ararat en toile de fond, goûterez des abricots secs au temple de Garni, et écouterez des chants envoûtants dans les fresques de pierre du monastère de Geghard. Avec une prise en charge facile à Yerevan et un guide local qui partage ses histoires, cette demi-journée vous laisse bien plus que des photos — un souvenir qui reste.
La première chose qui m’a frappé, c’est le silence qui s’est installé quand nous sommes sortis près de l’Arche de Charents. Notre chauffeur, Arman, a juste souri et nous a laissé savourer le moment — le Mont Ararat flottant au loin, comme une vieille toile. L’air était frais, avec ce petit goût piquant, et on sentait des herbes sauvages pas loin. J’ai essayé de déchiffrer le poème arménien gravé dans la pierre, mais j’ai abandonné à mi-chemin ; notre guide m’a traduit quelques passages et a ri quand je me suis emmêlé les pinceaux sur « Masis ». Ce paysage, il vous marque, vraiment.
Ensuite, le Temple de Garni s’est dressé devant nous, net sur le ciel. C’est étrange de voir un vestige si gréco-romain ici — des colonnes qui tiennent encore debout après tant de siècles. On a flâné autour des ruines, et notre guide a montré des mosaïques dans ce qui était autrefois un bain royal (j’ai failli les manquer sous mes pieds). Deux gamins du coin vendaient des fruits secs près des marches ; leurs abricots avaient ce goût acidulé et chaud, comme s’ils avaient capturé le soleil. Je ne sais pas si c’était juste moi, mais tout semblait chargé d’histoire, comme si le temps s’était ralenti un instant.
Le monastère de Geghard, lui, est niché dans les falaises plus haut dans la vallée — on entend l’eau goutter dans ces salles fraîches avant même de les voir. Certaines parois sont brutes, taillées directement dans la roche, d’autres ornées de croix délicates. On a surpris une répétition de chœur dans une chapelle ; un frisson, vraiment. Notre guide a raconté l’histoire de la lance conservée ici, mais surtout, je me suis laissé bercer par ces voix qui résonnaient contre la pierre. Le retour vers Yerevan s’est fait dans le calme — peut-être que chacun repensait à ce qu’il venait de voir. Ou simplement fatigué, mais d’une bonne fatigue.
La visite privée dure généralement entre 4 et 5 heures au départ de Yerevan.
Oui, la prise en charge et le retour gratuits dans Yerevan sont inclus.
Vous pouvez choisir un guide parlant anglais ou russe lors de la réservation.
Oui, les bébés peuvent participer avec sièges adaptés ou sur les genoux d’un adulte ; les poussettes sont aussi acceptées.
Oui, un arrêt est prévu à l’Arche de Charents pour prendre des photos du Mont Ararat si le temps le permet.
De l’eau en bouteille est fournie ; selon les options, il peut y avoir une masterclass et dégustation.
Le Temple de Garni est à environ 30 km de Yerevan, le monastère de Geghard à 10 km de plus.
Oui, des arrêts supplémentaires peuvent être organisés sur demande durant votre visite privée.
Votre journée comprend la prise en charge et le retour gratuits partout à Yerevan, un véhicule climatisé avec chauffeur professionnel et assurance pour tous les passagers. De l’eau en bouteille est fournie tout au long du trajet, et si vous choisissez l’option guidée, un guide anglophone ou russophone passionné vous racontera des anecdotes en chemin. Des arrêts supplémentaires peuvent aussi être ajoutés sur demande, ainsi que des masterclass et dégustations occasionnelles.
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