À votre arrivée à l’aéroport de Tabuk, vous repérez votre chauffeur avec une pancarte à votre nom (même s’il y a une petite faute). Installez-vous dans une voiture privée pour rejoindre AlUla — zéro stress, juste le désert qui défile et une conversation sympa si vous en avez envie. Eau en bouteille offerte, aide avec vos bagages et dépose directement à votre hôtel pour commencer votre voyage en toute sérénité.
La première chose qui m’est arrivée, c’est que j’ai carrément dépassé mon chauffeur à l’aéroport de Tabuk — je mets ça sur le compte du décalage horaire et du fait que je regardais mon téléphone pour capter du réseau. Il m’a juste souri et fait signe quand j’ai enfin vu la pancarte avec mon nom (presque bien écrit), et ça m’a un peu soulagé de voir quelqu’un qui ne semblait pas pressé. L’air dehors était sec, mais pas aussi chaud que je l’avais imaginé, avec une légère odeur de poussière mêlée à quelque chose de sucré, peut-être des dattes ? Quoi qu’il en soit, il m’a aidé avec ma valise sans en faire tout un plat.
On a pris la route vers AlUla — honnêtement, j’aurais cru que ça durerait plus longtemps. Le paysage changeait tout le temps : des étendues rocheuses, puis soudain des touches de vert qui m’ont fait cligner des yeux. Mon chauffeur, Khalid, m’a montré quelques endroits où, selon lui, les Bédouins campent parfois (« Pas en ce moment — trop calme », a-t-il rigolé). Il m’a proposé une bouteille d’eau avant même que je réalise à quel point j’avais soif. La route était plutôt vide, juste de longues lignes droites et quelques camions qui passaient. À un moment, on a croisé des chèvres perchées sur des rochers presque impossibles à atteindre ; Khalid a haussé les épaules comme si c’était banal.
J’ai essayé de lui demander quel était, selon lui, le meilleur moment pour visiter AlUla (mon arabe est vraiment mauvais), et il m’a répondu en anglais simple et posé — « Le printemps, c’est bien. Pas trop chaud. » Un conseil simple, mais qui rassure. Il y a quelque chose de reposant à laisser quelqu’un d’autre gérer toute la logistique après un vol ; pas besoin de négocier un taxi ou de se demander si on essaie de vous arnaquer (au sens propre). Juste vous, la route, et quelqu’un qui sait vraiment où il va. Ce sentiment d’être pris en charge m’a marqué plus que je ne l’aurais cru.
Le trajet prend généralement entre 3 et 4 heures selon le trafic et la météo.
Oui, de l’eau en bouteille est fournie durant tout le trajet.
Oui, les bébés et jeunes enfants peuvent être transportés en poussette pendant le trajet.
Oui, les animaux d’assistance sont autorisés lors de ce transfert privé entre Tabuk et AlUla.
Votre chauffeur vous attendra à la sortie des arrivées avec une pancarte à votre nom pour vous repérer facilement.
Ce transfert privé est adapté à tous les niveaux de mobilité.
Votre trajet comprend la prise en charge à l’aéroport de Tabuk avec un chauffeur local, de l’eau en bouteille pendant le trajet, de l’aide pour vos bagages si besoin, et une dépose directe à votre hôtel ou lieu de séjour à AlUla — sans arrêts inutiles ni complications.
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